Regards sur l'éveil
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daniel
Inscrit le: 15 Fév 2006 Messages: 8541 Localisation: belgique
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Posté le: Lu 17 Août 2020 14:45 Sujet du message: L'ADN ne serait pas le seul support de l'hérédité ... |
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Bonjour tout le monde !
On en apprend tous les jours ... un article Science et Vie :
Le génome, seul support de l'hérédité ? Ce dogme central de la biologie serait une impasse, à en croire un biologiste américain. C'est au contraire la cellule tout entière qui transporterait l'information génétique, avec son ARN, ses protéines, ses ions...
"L'idée que l'ADN puisse être le seul support de l'hérédité contenant toutes les instructions nécessaires et suffisantes à la vie est une impasse. " C'est une véritable charge contre le dogme central de la biologie que vient de porter le biologiste moléculaire Antony Jose. Non sans avoir affûté ses arguments de longue date. Avec son équipe de l'université du Maryland (États-Unis), il avait dès 2015 révélé une faille dans l'hérédité purement génétique : "Nous avions démontré chez C. elegans une transmission sur plus de 25 générations d'un caractère sans que celui-ci soit codé par un gène" , rappelle-t-il.
Il s'agissait en fait d'une modification épigénétique du génome de ce petit ver dont la séquence d'ADN était pourtant demeurée strictement intacte. Autrement dit, un même génome conduisait à des individus différents… en contradiction totale avec le dogme central de la biologie, selon lequel une telle variation ne peut s'expliquer que par une mutation de la séquence d'ADN. Une entorse à la stricte hérédité génétique qui a été largement confirmée depuis chez d'autres espèces : le "code génétique" serait contourné par un "code épigénétique" !
Le code génétique, un concept réducteur
"Ce code génétique est un concept réducteur qui empêche de penser l'hérédité dans toutes ses dimensions et retarde les avancées en biologie et en médecine" , s'agace Antony Jose. Il faut selon lui considérer la cellule tout entière comme le support de l'hérédité : "La première cellule embryonnaire qui nous engendre contient beaucoup plus d'informations que n'en transmet la seule molécule d'ADN" , insiste-t-il. Selon cette nouvelle théorie, le cœur du système reproducteur, son "processeur", serait constitué d'une myriade d'entités : des molécules d'ARN, des protéines contrôlant les modifications épigénétiques de l'ADN, des ions impliqués dans la signalisation cellulaire…
"Toutes ces molécules déterminent le développement de la vie cellulaire et en assurent la bonne reproduction de génération en génération, souligne-t-il. Seule la totalité du code cellulaire permet de concilier les données expérimentales de la génétique et de l'épigénétique au sein d'un cadre théorique cohérent. " Ainsi, nous hériterions de tout un système cellulaire, dans lequel l'ADN ne serait qu'un rouage parmi d'autres.
PS : ADN, ARN, protéines, IONS ... que de la matière inerte, bizarre ... |
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vertgandazert
Inscrit le: 20 Août 2015 Messages: 419 Localisation: Nantes
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Posté le: Me 19 Août 2020 11:25 Sujet du message: |
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Bonjour daniel,
Malgré l'immense développement de la "génétique moléculaire" de puis une cinquantaine d'années, force est de reconnaitre, que nous toujours incapables de comprendre et de déchiffrer vraiment le langage du code génétique.
Juste deux rappels pour illustrer mon propos:
*les mêmes gènes se manifestent différemment selon leur position spatiale sur l'adn, plus de 80% des gènes ne semblent avoir aucune fonction, c'est l'adn "poubelle", peut être parce que l'on ne connait pas leur langage?
*les gènes présents sur l'adn, commandent la synthèse des protéines, qui sont les matériaux de construction du vivant, mais pas leur plan de montage, ainsi une chenille a exactement le même adn que son papillon, alors d’où provient leur grande différence d'aspect?
Alors cela interroge, voici une réponse possible, mais mal acceptée par les biologistes "main stream":
"Je livre cet article à votre réflexion:
L’ADN communique dans l’univers
Ecrit par Alain-Yan Mohr
Traduction vers le français Isabella Heim
L’une des théories les plus intéressantes est sans aucun doute la nouvelle cosmologie de Matti Pitkänen, qui établit, pour la première fois, un lien entre la physique et la conscience.
Le physicien finnois a postulé, il y a déjà quelques années, une brillante théorie sur la manière dont l’univers était constitué, avec, à la base, une nouvelle géométrie spatiale basée sur huit dimensions : la géo-métro-dynamique topologique (TDG).
Dans cette théorie compliquée, difficilement compréhensible même pour les savants, les trous de vers (ou vermoulures) jouent un rôle important. Les « vermoulures » ont été nommées ainsi pour la première fois par le physicien John Wheeler.
Il s’agit de microscopiques canaux de connexion à travers l’hyper-espace, qui apparaissent suite à des fluctuations et des variatons du vide quantique. Cet étrange nom est le résultat d’une blague de Wheeler, qui a comparé ces structures à des trous faits par les vers dans une pomme. La Théorie de Pitkänen est très provocante, parce que, pour la première fois dans l’histoire des sciences, elle tente d’établir une relation entre la physique et biologie, ce qui mène à une véritable cosmologie du vivant.
La biologie moderne, spécialement la génétique, s’occupe depuis longtemps de l’étude des molécules porteuses des gènes : l’ADN. Selon la théorie de Pitknen, l’ADN ne sert pas seulement à produire des protéines dans les cellules et de construire par cette voie le corps, comme on l’avait découvert. Selon le chercheur, le long de cette grande bioomolécule, les vermoulures déjà mentionnées s’accollent et lui servent de canaux de communication.
Par cette voie, Pitkänen arrive à une toute nouvelle vision de l’ADN, dans laquelle des termes tels que conscience et perception s’intégrent et font leur entrée dans la physique. Il écrit : « les champs-vermoulures magnétiques , qui sont greffés sur des membranes espace-temps, qui contiennent de la bio-matière courante, sont de bons candidats pour l’explication physique du mécanisme de la perception.. Le magnétisme des vermoulures pourrait même être considéré comme la quintessence des systèmes vivants ».
Dans cette citation Pitkänen se réfère à l’hypothèse des mondes parallèles, d’Everett et Wheeler, selon laquelle notre univers ne serait qu’un univers parmi de nombreux autres univers, situés dans un hyper-espace à dimensions plus élevées. Ces univers singuliers dans l’hyper-espace sont parfois également nommés feuilles (membranes) espace-temps.
Si l’on développe la pensée de Pitkänen, cela veut dire que la science est sur le chemin de prouver la relation que l’on soupçonne d’exister depuis longtemps entre la gravitation et la conscience. Plus précisément : la gravitation et la conscience forment des dipôles opposés.
L’effet de l’ADN Fantôme
Une preuve sensationnelle pour la théorie de Pitkänen est basée sur les travaux d’une équipe de chercheurs inter-disciplinaires de l’Académie de Sciences de Moscou, sous la direction du biologiste moléculaire et biophysicien, Dr. Pjotr. P. Garjajev.
Garjajev et son collègue, le physicien quantique, le Dr. Vladimir Poponin, ont fait une observation insolite en mesurant les vibrations émises par des échantillons d’ADN.
Ils ont irradié un échantillon d’ADN avec la lumière laser, et ont obtenu, sur un écran, un modèle typique d’ondes.
S’ils enlevaient l’échantillon d’ADN, ces ondes ne disparaissaient pas, comme on pouvait s’y attendre, mais persistaient, sous forme de structure régulière, comme s’il y avait toujours un échantillon matériel.
Comme l’ont démontré des expériences-contrôles, ces ondes devaient provenir, sans aucun doute, de l’ADN qui n’était plus présent ! Une expérience à vide, c’est-à-dire sans échantillon, ne donnait qu’une courbe d’ondes aléatoires. L’effet était reproduisible à volonté, et on l’appelle, aujourd’hui, l’effet ADN-Fantôme.
L’explication scientifique de ce phénomène est que l’ADN lui-même semble produire des ondes dans le vide (vacuum), à travers lequel une vermoulure magnétisée se produit, induite par la présence de matière vivante, qui peut persister, selon les cas, plusieurs mois – c’est ce que les recherches de Garjajev et de son collègue ont démontré.
Au début des années soixante, le biologiste britannique Rupert Sheldrake, de l’université de Cambridge a établi sa fameuse théorie sur les champs morpho-génétiques. Chaque être humain, de même que chaque être vivant, laisse une trace invisible de son existence. Pour la première fois, Pjotr Garjajev a pu rendre visible cette trace dans un laboratoire.
La question est la suivante : à quoi sert cette trace ? Avec qui ou avec quoi « chuchotent » nos gènes ? Comment communique l’ADN, et dans quel but le fait-il ?
Le plus surprenant est que tous les résultats indiquent que l’ADN n’est soumis à aucune limitation, en ce qui touche à sa faculté de communication.
Hypercommunication
D’après la théorie de Pitkänen, cette communication ne se fait pas de manière classique, mais à travers les vermoulures magnétisées, c’est-à-dire hors de l’espace-temps, soit à travers les dimensions plus élevées de l’hyper-espace. On parle de ce fait d’hypercommunication. Cette hypercommunication ne paraît pas avoir un but limité ou particulier : elle représente un point d’intersection vers ou dans un réseau ouvert – un réseau de conscience ou réseau du vivant.
Comme dans l’internet, l’ADN peut :
• Introduire ses propres données dans ce réseau
• Extraire des données de ce réseau
• Etablir un contact direct avec d’autres participants de ce réseau.
On peut dire, d’une certaine façon, que l’ADN possède sa propre « page internet », qu’il peut « surfer » et qu’il peut « chatter » avec d’autres participants. Ce qui est plus incroyable encore, l’ADN n’est pas limité à sa propre espèce, comme on pourrait peut-être le croire. L’information génétique d’êtres différents peuvent également « échanger » entre eux (entre différentes formes de vie). L’hypercommunication devient donc la première interface à travers laquelle les formes d’intelligence les plus variées sont unies, dans l’univers, entre elles.
Une autre application très importante de l’hypercommunication est représentée par la conscience de groupe, soit la possibilité, pour des groupes d’individus ou d’animaux, de pouvoir agir de manière coordonnées, comme un ensemble. Mais, comme le montrent les essais, la portée de l’hypercommunication est encore plus vaste.
Les conséquences, concernant la compréhension du processus d’apprentissage chez l’humain, sont immenses.
Notre corps humain est constitué par des cellules, et chacune d’elles contient une molécule d’ADN. Nous savons à présent que par cette voie, des milliard d’antennes de communications sont constamment en action. Notre conscience, apparemment, ne s’en est pas rendue compte, à ce jour. Ou peut-être si ?
Au cours de l’histoire, il y a toujours eu quelques individus spéciaux qui ont fait évoluer l’humanité, par des idées révolutionnaires, scientifiques ou culturelles. Mais personne ne s’est sérieusement posé la question de la manière dont ceci était possible. (sauf pour Einstein, dont le cerveau a été découpé en tranches et étudié, et où l’on a découvert une part de glie plus élevée que la normale, ce qui est intéressant au vu des nouvelles découvertes sur la fonction des cellules gliales, n.d.t.)
On a parlé de créativité, donc de la faculté à penser de manière nouvelle et différente, de créer des réalités virtuelles qui ont pu être appliquées dans la réalité. Mais l’étincelle, l’inspiration, la découverte en elle-même, n’ont jamais été expliquées, n’étaient jamais le résultat d’une pensée logique et rationnelle. Toujours, il semblait qu’elle se présentait soudainement, comme une évidence, venue de nulle part.
Est-ce qu’une telle information pourrait procéder à travers les canaux d’hypercommunication de l’ADN ? Et si oui, d’où vient-telle ? Est-ce qu’une telle hypothèse peut être prouvée ? Cette dernière question est la plus difficile.
La science exige, comme preuve, la répétitivité d’une expérience, dans des conditions contrôlées d’un laboratoire. Peut-on provoquer la créativité ou l’inspiration en laboratoire, et générer dans un être humain un savoir jusque-là inconnu et inédit ?
Cette question pose un véritable défi, mais elle peut aussi être abordée, par des méthodes scientifiques actuelles, du moins partiellement.
Notre corps ne peut pas seulement générer de la lumière, sous forme de biophotons, mais il est également en mesure d’extraire de la lumière de l’environnement. Il peut même stocker cette lumière, notamment dans l’ADN, qui est également le plus impliqué dans la radiation biophotonique. Par sa forme caractéristique de double-hélice, l’ADN est une antenne électromagnétique idéale. D’une part, il est allongé, et par là une antenne droite qui peut très bien capter les impulsions électriques. D’autre part, il est également circulaire (vu d’en haut) et par là, il est aussi une excellente antenne magnétique.
Que se passe-t-il au niveau de l’énergie électromagnétique captée par l’ADN ? Elle est tout simplement stockée, par le fait que la biomolécule géante se met à vibrer, par résonance. Ce système, en physique, s’appelle un oscillateur harmonique.
Un tel oscillateur rend également l’énergie qu’il a stockée, au bout d’un certain temps, ce qui peut être observé en chambre noire, et le temps nécessaire pour ce processus est une mesure pour sa faculté de stockage énergétique. Les physiciens appellent cela la capacité (mesure) de résonance. On a découvert que la résonance de l’ADN est nettement plus élevée que dans les systèmes d’oscillateurs techniques des laboratoires de physique. Ce qui signifie que les pertes d’oscillation sont minimes. Cette découverte corrobore ce qu’on suspectait depuis longtemps : l’ADN est un supra-conducteur organique, qui plus est, travaille à température du corps ! La science a encore beaucoup à apprendre de la nature…
Chaque être humain porte donc dans chaque cellule de son corps une « mécanique » technique surpuissante : un microchip avec trois gigabits de capacité de stockage, qui extrait des information électromagnétiques de son entourage, qui stocke cette information et qui peut également la retransmettre, possiblement modifiée.
Les données techniques de l’ADN en tant qu’antenne oscillatoire sont rapidement établies. Nous savons que la molécule d’ADN fait environ deux mètres, étendue, ce qui veut dire qu’elle a une fréquence propre de 150 Mégahertz. Encore un chiffre intéressant, car cette fréquence est insérée dans la bande spectrale des micro ondes, des télé-communications et du radar. Nous utilisons donc la même bande-fréquence à des buts de repérage et de communication. Simple hasard ?
La déduction s’impose : les ondes mobiles de télécommunications peuvent influencer directement notre ADN. L’ADN peut également stocker toutes les ondes harmoniques de 150 Mégahertz, donc également la lumière visible. La 22. octave de 150 Mégahertz se situe exactement dans ce domaine. La couleur de cette émanation de lumière, d’ailleurs, est le bleu. Est-ce un hasard que la réfraction de la lumière du soleil, par la Terre, fait que, depuis l’espace, elle apparaît comme la planète bleue, et que le ciel apparaît bleu ?"
Article complet ici:
http://fin-des-temps.blogspot.fr/2013/08/ladn-communique-dans-lunivers.html _________________ La vie est une expérience, alors expérimentons |
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daniel
Inscrit le: 15 Fév 2006 Messages: 8541 Localisation: belgique
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Posté le: Me 19 Août 2020 14:46 Sujet du message: |
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C'est intéressant cet article, mais, est-c'que cette approche peut prendre en compte que l'ADN, n'est pas le seul support de l'hérédité !? |
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vertgandazert
Inscrit le: 20 Août 2015 Messages: 419 Localisation: Nantes
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Posté le: Me 19 Août 2020 15:45 Sujet du message: |
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Ce qui me semble important, c'est que l'adn semble être une" antenne" capable de recevoir et de décrypter les programmes d'informations qui modèlent la matière, pour la rendre vivante et plus consciente.
Après est elle le seul support de l'hérédité?
oui sans doute, mais cela peut concerner toute la cellule, car il y a aussi de l'adn mitochondrial, car contenu dans les mitochondries .
Ce que je veux dire aussi, c'est qu'il convient d'être très prudent, en l'état de nos connaissances, si l'on veut créer des"OGM".
Le langage des gènes n'est pas assez connu, à mon avis _________________ La vie est une expérience, alors expérimentons |
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daniel
Inscrit le: 15 Fév 2006 Messages: 8541 Localisation: belgique
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Posté le: Me 19 Août 2020 16:14 Sujet du message: |
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didier
Inscrit le: 18 Fév 2018 Messages: 3019 Localisation: Région Parisienne
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Posté le: Me 19 Août 2020 16:14 Sujet du message: |
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Bonjour à tous,
Peut-être serait-il utile de s'interroger sur le sérieux de l'article proposé par vertgandazert. |
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vertgandazert
Inscrit le: 20 Août 2015 Messages: 419 Localisation: Nantes
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Posté le: Me 19 Août 2020 16:30 Sujet du message: |
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@didier, oui il est toujours utile de s'informer, surtout en biologie....
Domaine où la désinformation est intense.
C'est normal c'est une science très complexe qui nous concerne de multiples façons, de plus tout le monde en parle à tort et à travers, raison de plus pour bien s'interroger.
Voici des éléments de réponses:
"
Alain BOUDET : « L’ADN et le champ d’information de l’Univers Quel est le véritable code génétique? »
JEUDI 20 AOÛT 2020 à 15h30 – CONFÉRENCE INÉDITE avec VIDÉO-PROJECTION
L'adn alain boudet
Présentée par Alain BOUDET, Dr en sciences physiques qui a effectué une carrière de chercheur au CNRS. Passionné par l’épanouissement de l’être humain, il s’est formé à la psychologie biodynamique, à l’éducation musicale et vocale, et à des approches bioénergétiques et spirituelles. Il est l’auteur de nombreux articles publiés sur son site web www.spirit-science.fr et de trois livres, Voyage au cœur de la matière plastique (CNRS éditions, 2004), Pourquoi vivons-nous ? (Hélios, 2011) et Le réseau énergétique des lieux sacrés (Véga, 2016).
Alain Boudet 2017
Depuis 1944, nous savons que la molécule ADN porte les codes génétiques. Toutefois, nous ne sommes pas programmés par ce code, car il existe de nombreux mécanismes qui modulent son expression dans notre corps, décrits en particulier par la biologie de l’épigénétique.
Bien plus, il existe un code génétique électromagnétique. Des scientifiques ont montré que les organismes vivants émettent de la lumière (biophotons) à très faible intensité. L’ensemble des biophotons de l’organisme constitue un champ cohérent porteur d’information qui coordonne les processus vitaux de l’organisme et maintient son intégrité. Des codes similaires provenant de plans supérieurs de réalité, soustendent l’apparition et l’évolution des organismes terrestres et des objets cosmiques.
(avec projection d’images)
Participation : 10€, 5€ Adhérents, (+1 Boisson offerte) / Accueil à partir de 14 h 30, Début à 15 h 30.
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* Prévoir un pull ou une laine pour la fin d’après midi (conférence en plein air sous tente de réception)
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(à Rennes les bains, sortie du village, prendre à gauche direction Fourtou…)"
Je ne fais aucune pub, c'est juste une info.... _________________ La vie est une expérience, alors expérimentons |
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Nathaniel
Inscrit le: 16 Août 2020 Messages: 172
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Posté le: Me 19 Août 2020 17:21 Sujet du message: |
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Pour aller dans le même sens, on peut penser aussi à un tout autre vecteur d'hérédité biologique qui est celui de la transmission du microbiote de la mère à l'enfant, lors de l'accouchement et des contacts physiques entre eux comme pendant l'allaitement, et qui participe, entre autres, à constituer le système immunitaire de l'enfant.
daniel a écrit: | PS : ADN, ARN, protéines, IONS ... que de la matière inerte, bizarre ... |
Inerte ? Pour ce qui est de l'ADN et de l'ARN, pas si sûr. Selon l'hypothèse du monde à ARN que tu connais peut-être, à l'origine de la vie l'ARN était le premier type de protéine à se répliquer et à disposer d'un métabolisme rudimentaire donc à répondre à la définition du vivant, puis vint l'ADN vivant lui aussi en vertu des mêmes critères. |
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daniel
Inscrit le: 15 Fév 2006 Messages: 8541 Localisation: belgique
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Posté le: Me 19 Août 2020 18:33 Sujet du message: |
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Effectivement, ben, je découvre cette hypothèse ... mais, on est d'accord, ce qui compose l'ARN est de la matière inerte !? |
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Nathaniel
Inscrit le: 16 Août 2020 Messages: 172
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Posté le: Me 19 Août 2020 18:47 Sujet du message: |
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daniel a écrit: | Effectivement, ben, je découvre cette hypothèse ... mais, on est d'accord, ce qui compose l'ARN est de la matière inerte !? |
Si l'on s'en tient à la définition admise du vivant, oui, la matière constituée en molécules organiques qui compose l'ARN est inerte. Et je suis en phase avec toi, le fait que de la matière inerte se structure pour in fine s'auto-organiser en unités vivantes représente un très grand mystère. |
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