Regards sur l'éveil
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Marc89
Inscrit le: 03 Mai 2014 Messages: 731
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Posté le: Je 27 Mars 2025 11:59 Sujet du message: Preuves de l'Atlantide |
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Preuves de l'Atlantide
http://www.onnouscachetout-la-suite.com/t3096-Preuves-irrefutables-de-l-Atlantide.htm
Je ne pretend pas suivre l'auteur dans toutes ses conclusions dans son site, mais sur la question scientifique, oui...
"Le récit de Platon, si simple et si précis, a servi de base aux recherches de nos géologues et anthropologistes contemporains ; ceux-ci ont reconnu que ce récit était basé sur des faits réels et n’était nullement un mythe. C’était l’hypothèse la plus logique et la moins imaginative. Les recherches furent donc en conséquence effectuées dans l’Océan Atlantique. L’Angleterre envoya le Challenger, l’Hydra et le Proserpine opérer des sondages. Les États-Unis) suivirent cet exemple et le Dauphin, le Gettysburg en compagnie de la canonnière allemande La Gazette explorèrent les bas fonds de l’Atlantique à l’endroit indiqué par Platon. Il résulta de ces différents sondages l’affirmation qu’il y avait au fond de l’Océan une vaste île engloutie avec des vallées, des montagnes, des plateaux. Cette île mesurait 3.000 de long sur 100 milles de large. Une immense chaîne de montagnes la traversait et s’y épanouissait, allant dans la direction Sud-Ouest depuis le 50e Nord jusqu’aux côtes de l’Amérique méridionale. Un rameau de cette chaîne prenait une direction S. E. vers l’Afrique et bifurquait vers le sud jusqu’à Tristan d’Acunha ; cette chaîne était haute de 9.000 pieds et il a été prouvé à ce moment que les îles Açores : Saint Paul, Ascension, Tristan d’Acunha n’étaient que les pics de cette immense montagne engloutie. Donc il y a bien au fond de l’Océan un continent effondré dont les sommets des montagnes émergent seuls à l’heure actuelle et constituent des îles. Puis les sondages révélèrent encore que cette île immense était couverte de débris volcaniques provenant d’éruptions gigantesques. Or Platon, comme les livres mayas, raconte que l’engloutissement de l’Atlantide a été précédé d’éruptions volcaniques. Ces faits matériels constituent une preuve tangible de la vérité de la tradition."
Marc89 ecrit:
Si c'etait un mensonge, les scientifiques auraient beau jeu de prouver le contraire, medias a l'appuie, et ce seraient leurs interet et avec tous les milliards perdus dans les recherches, ce serait une goutte d'eau, alors pourquoi ne font-ils rien ? ce serait pourtant interessant pour la planete entiere...d'ou les medias avec, et pour eux aussi a defaut de ne rien trouver...mais bizarement aucun ne se presente alors que l'on trouverait peut etre des vestiges d'une civilisation engloutit ce qui serait probablement pour eux le plus grand tresor du monde jamais decouvert encore...
Donc, cette distance vis a vis de cette histoire n'est qu'une forme de protection envers eux meme qui leurs evitent de reveler la verité.
Des plantes ont émigré d’Amérique en Europe. Enfin se pose la fameuse question du bananier, originaire d'asie. Le bananier n’est qu’un plantain évolué par la culture. Il ne se reproduit que par des boutures et se transporte très difficilement. Il faut tous les soins qu’apporte dans ses expériences notre science moderne pour effectuer un transport de plants de bananier. Or le bananier se trouve en Afrique et en Amérique ! Il a fallu nécessairement que ce produit d’une civilisation fût apporté d’un pays dans un autre et, comme il ne peut se transporter, il a fallu qu’un continent intermédiaire lui permît d’émigrer peu à peu par des boutures successives. Ou il a émigré naturellement par boutures, ou il a été transporté par des hommes jouissant d’une civilisation avancée, et cela à une époque très reculée, car le bananier est connu depuis très longtemps. Ces hommes ne peuvent être ni les peuples de l’antiquité que nous connaissons, ni les Peaux-Rouges, car ni les uns ni les autres n’avaient les moyens d’effectuer un transport aussi délicat.
La malacologie montre aussi qu’il existe dans le pays des Basques une flore locale qui ne ressemble en rien à celle d’Europe et semble avoir été importée d’Amérique. L’Helix quimperiana et l’Helix constricta sont des produits de la flore Américaine et, chose curieuse, l’Helix quimperiana ne se rencontre en France qu’au pays des Basques et aux environs de Quimper, deux terres que la tradition considère comme ayant appartenu à l’Atlantide.
L’entomologie présente des résultats identiques. Bref au point de vue scientifique naturaliste, l’existence de l’Atlantide peut seule expliquer comment la faune et la flore fossile d’Amérique a pu se transporter en Europe et y arriver dans un degré d’évolution qu’elles n’ont point connu en Amérique. L’Atlantide a été la terre intermédiaire, où des formes primitives américaines ont évolué avant de s’adapter en Europe. Elle est donc, à tous les points de vue, un continent de transition. L’ethnologie est non moins significative que l’anthropologie. Elle montre en effet que des similitudes nombreuses existent entre certaines races des deux continents, et cela aux points de vue anatomique, sociologique, ethnographique, mœurs et usages
En Europe, une grande parenté existe entre les Basques, les Corses, les Guanches. Ce sont des dolichocéphales, ayant une forme crânienne des plus caractéristiques. Or il est curieux de constater que l’on rencontre cette dolichocéphalie chez certains naturels américains. Même crâne, même teint rougeâtre, mêmes caractères physiques. Cette race dolichocéphale, que l’on rencontre aussi en Afrique sur les côtes atlantiques, ne se rattache aucunement à la race indo-européenne. Elle forme sur notre continent un îlot à part, nettement défini au point de vue physique comme au point de vue mœurs et langages. Or cet îlot étranger à notre Europe et à ses races se rattache singulièrement aux races américaines. Elles découlent des mêmes progéniteurs physiques et sociaux. D’ailleurs, les Basques sont les premiers à reconnaître qu’au début, d’après leur tradition, ils vivaient isolés dans un pays restreint, borné de tous côtés par la mer. Ce n’est que plus tard, disent-ils, que des émigrations noires venant du Midi, puis des émigrations blanches venant du Nord envahirent le pays qui sortait des eaux et le peuplèrent. Ils se reconnaissaient en somme complètement en dehors de toute famille européenne, un peuple à part et d’une antiquité supérieure aux noirs et aux blancs. Leurs deux idiomes l’Eskualduna et l’Euskarien leur donnent raison. En effet, la linguistique est forcée de reconnaître que ces idiomes ne peuvent aucunement découler des langues indo-européennes. Ils ne se rattachent pas davantage aux langues africaines et asiatiques. Ils semblent cependant vaguement apparentés à la langue des Guanches, à l’Étrusque, à l’Égyptien primitif, et au Thibétain primitif. Mais cette parenté est extrêmement lâche, tandis qu’au contraire certains idiomes américains ressemblent à tel point à la langue basque que des naturels Peaux-Rouges du Canada pourraient comprendre sans difficulté un Basque. Cela ne peut être dû au hasard. Nous venons de dire que le Basque ne semblait dans l’ancien continent n’être que vaguement apparenté à l’Égyptien primitif, au Thibétain primitif, à l’Étrusque. Cela est vrai, car il est permis de supposer que les Basques, se rattachant à cette race rouge dont les Étrusques, les Égyptiens, et les Thibétains primitifs se disaient issus, avaient dû forcément avoir les mêmes progéniteurs linguistiques. Seulement, tandis qu’au pays basque la langue restait fixe et immuable comme elle l’est restée en Amérique dans certaines tribus, elle évoluait au Thibet et surtout en Égypte, se défigurant peu à peu au contact des idiomes noirs et boréens. Seul l’Étrusque qui, à l’heure actuelle, reste encore mystérieux, semble être une forme plus évoluée que le Basque, mais moins évoluée que l’Égyptien. L’avenir démontrera peut-être que cette langue est l’intermédiaire entre le Basque et l’Égyptien.
Mais ce qui est caractéristique au point de vue de l’Atlantide, c’est cette conformité de langage de deux peuples ayant les mêmes caractères physiques et étant séparés par un Océan immense. De plus, ces deux peuples n’ont jamais été navigateurs. Il y a donc eu, à un moment donné, un pont naturel. Ce pont était l’Atlantide.
En Europe, certains types bretons à peau rouge, à nez en forme d’aigle, ressemblent aussi d’une façon étonnante, au point de vue physique, à certains types américains. Ces Bretons constituent de petits îlots, très concentrés, et jamais ne se sont mêlés aux peuples environnants, envers lesquels d’ailleurs ils affectent du mépris. Et il est curieux de constater la parenté physique de ces Bretons avec certaines peuplades italiennes descendant des Étrusques, avec certains types égyptiens et indous. Ces Bretons se rattachent donc à la race rouge et sont totalement étrangers aux Sudéens et aux Boréens.
Mais où la parenté existant entre les rouges d’Amérique et les rouges d’Europe éclate merveilleusement, c’est dans la comparaison des Égyptiens et des peuples qui s’y rattachent (Phéniciens, Rumero, Accadiens, Étrusques) avec les Péruviens, les Mayas du Yucatan et les Mexicains, peuples représentant en Amérique la race rouge dans toute sa pureté. Même forme crânienne, mêmes usages, mêmes architectures, mêmes conceptions métaphysiques. On a la sensation très nette d’un progéniteur commun et ce progéniteur, que reconnaissent les traditions de ces peuples est, disent-elles, le pays d’Atlan, d’Atzlan, d’Atlantide, l’île mystérieuse enfouie au fond de la mer.
Au point de vue linguistique, il est curieux de constater la ressemblance existant entre l’alphabet phénicien et l’alphabet maya du Yucatan, entre le grec et le maya, le chiapanec et l’hébreu. Cette ressemblance entre le grec et le maya est, paraît-il, si grande qu’un des explorateurs des contrées américaines connaissant l’ancien grec, comprit la plupart des Mayas sans difficulté. « Le grec d’Homère en Amérique ! s’écria-t-il, mais c’est une invention du diable ! »
Qu’est-ce que le maya ? L’idiome d’un peuple rouge qui prétend descendre des Atlantes.
Qu’est-ce que le grec ? Un dérivé de l’hébreu, venant de l’Égypte. Or cette Égypte prétend être fille de la race rouge et descendre des Atlantes. Sa langue est l’hébreu primitif : non point le dialecte syro-araméen que nous connaissons, mais l’idiome de Moïse, la langue de Sepher, la langue sacrée des peuples rouges échappés au déluge ! Donc le grec et le maya ont une origine commune, tous deux sont les dérivés d’une langue mère qui est la langue atlante, et l’Atlantide seule permet d’expliquer leur parenté. Un exemple :
Dieu au Mexique s’exprime par 2 mots : Théo et Zéo
Dieu en grec........................... Théo et Zéus
Dieu en Hébreu......................... Ja et Yah
Cette similitude frappante ne peut être due au hasard. Seule l’Atlantide donne la clé du mystère. Les rapports qui existent entre le chiapanec et l’Hébreu s’expliqueraient de la même manière. En un mot, l’hébreu primitif, qui était l’idiome sacré des Égyptiens, est une langue atlante, qui a été la mère, dans l’ancien continent, du grec (mélange d’hébreu et de celte) et du zeud (mélange d’hébreu et de pâli) ; et dans le nouveau, du maya et du chiapanec. On a été frappé aussi de la parenté existant entre l’alphabet maya et l’alphabet phénicien. Tous les deux sont à base phonétique et de nombreux signes concordent. Nous dirons pour expliquer cette parenté ce que nous avons dit pour faire comprendre celle qui unit le grec au maya. Le phénicien est un produit de l’Égypte. Son alphabet est né dans les temples Égyptiens, car l’Égypte a été la matrice où ont été enfantées les civilisations grecques phéniciennes, chaldéennes, indoues.
L’Égypte possédait quatre sortes d’écritures :
1° L’écriture épistolographique ; 2° l’écriture hiéroglyphique ; 3° l’écriture hiératique ; 4° l’écriture symbolique.
Le phénicien est un dérivé de l’écriture épistolographique égyptienne, qui était alphabétique, et les Égyptiens tenaient eux-mêmes cette écriture des Atlantes. Quant aux Mayas, ils tenaient leur alphabet, disaient-ils, des Colhnas, race qui s’était éteinte 1.000 ans avant J. C. Et ces Colhnas prétendaient venir du pays d’Atlan. Donc, là encore, l’Atlantide peut seule expliquer la parenté entre l’alphabet maya et l’alphabet phénicien. Les signes mayas sont hiéroglyphes en ce sens qu’ils représentent un objet et se manifestent par une décoration embrouillée et excessive. Les signes phéniciens ne sont en somme que ces hiéroglyphes, simplifiés par l’usage et l’évolution. Leur intermédiaire est l’écriture égyptienne, plus simple que le maya mais plus ornée que le phénicien. Voici d’ailleurs quelques exemples montrant l’identité des alphabets et la nécessité d’admettre un progéniteur commun :
Manzi Atlantide 1.jpg
Voir lien:
https://fr.wikisource.org/wiki/Le_Livre_de_l%E2%80%99Atlantide/Les_preuves_scientifiques
Donc on peut établir scientifiquement qu’une réelle parenté existe entre les langues et les alphabets des peuples rouges de l’ancien et du nouveau continent. Ces peuples ont donc eu forcément des relations sur une terre commune. D’où la nécessité de l’Atlantide.
Les mœurs et les coutumes des Péruviens et des Mexicains offrent une curieuse ressemblance avec celles des Égyptiens et des peuples qui s’y rattachent. Au point de vue religieux, au Pérou comme en Égypte, étaient pratiqués les usages et rites suivants : le baptême, la confession, l’absolution, le carême, le mariage religieux, la communion sous les deux espèces et avec des hosties qui étaient des pains marqués du sceau sacré, l’embaumement des morts, la bénédiction avec la croix, l’adoration de la croix considérée comme symbole de la vie éternelle, la pénitence, la crémation. Des deux côtés de l’océan, même croyance en un seul Dieu, en l’immortalité de l’âme, en une vierge sacrée. Même culte sidéral, même adoration d’un disque d’or représentant le Soleil, mêmes fêtes religieuses, mêmes cérémonies. Pan était aussi adoré en Amérique qu’en Grèce, et sous le même nom. On connaissait au Pérou des ordres religieux, des ordres monastiques où la mort punissait celui qui trompait ses vœux. Il y avait aussi des vestales, gardiennes du feu sacré, vierges pures qui, si elles se laissaient séduire, étaient, comme à Rome, enterrées vivantes ! Les Chippewayames connaissaient l’histoire de Tantale, la légende d’Atlas, les Méduses aux cheveux de serpents, l’histoire de Deucalion ; et chez les Mexicains, Jupiter et son tonnerre étaient adorés ! Bref, on peut dire que la religion péruvienne est identique à la religion égyptienne, comme métaphysique et comme rites.
Est-ce pur hasard ?
Le calendrier maya est semblable au calendrier chaldéen et la chronologie maya est la même. Les noms des vingt jours du mois aztèque sont identiquement ceux du Zodiaque chaldéen.
Est-ce pur hasard ?
La magie était connue des Péruviens : ils la pratiquaient et admettaient, comme les Grecs, la lycanthropie. Ils se disaient, à l’égal des Égyptiens, fils du soleil et racontaient sur le déluge des histoires identiques à celles des Chaldéens. Ils avaient un Noé, qui construisit une arche. Ils brûlaient aussi leurs morts, ou bien les enterraient dans des tumuli comme les Étrusques, avec leurs armes, leurs bijoux, des vases précieux, ou encore les embaumaient. Or, le procédé d’embaumement que les Péruviens employaient était identique à celui des Égyptiens. Mêmes incisions, mêmes précautions, et les momies péruviennes comme les momies égyptiennes ont toutes dans la bouche une lame d’argent.
Est-ce pur hasard ?
Les naturels de la vallée du Mississipi pratiquaient cette curieuse coutume de la couvade, que l’on retrouve en Europe chez les Basques. Aussitôt accouchée, la femme se lève, et cède son lit au mari qui reçoit, couché, le poupon dans ses bras, les félicitations des amis ! Cet usage singulier n’est pratiqué en Europe que par les Basques. Or comment expliquer que cette coutume se retrouve ainsi localisée en Amérique ?
Est-ce pur hasard ?
Il y a une ressemblance étrange entre les noms de lieux et de personnages à Haïti et aux Canaries, au Pérou et en Égypte, au Mexique et en Grèce. Ainsi le mot Maya est un mot qui se retrouve à chaque pas en Grèce, en Égypte, dans l’Inde. Il a donné Marie, Miriame, Marianne, etc.. La coiffure égyptienne appelée Calantica se retrouve sur des statues du Mexique. Elle est cependant spéciale et caractéristique. Quant aux monuments égyptiens, ils ressemblent singulièrement aux monuments péruviens. Mêmes conceptions architecturales, même esthétique, mêmes procédés de construction et, ce qui est plus bizarre, même orientation des monuments religieux et même disposition des chambres intérieures et des galeries. Les pyramides d’Égypte sont identiques à celles du Pérou. Chez les deux peuples, elles sont un gnomon et expriment le symbole du quatre dans l’un. Les Mound builders de la vallée de l’Ohio sont des pyramides ayant des proportions analogues à celles d’Égypte. Celle de Cahokia a 97 pieds de hauteur. Il y a aussi une grande similitude entre les ruines de Teotihuacan et celles de Karnak. Les deux peuples ont construit des tumuli, des cairns, des cryptes, des aqueducs, des arches et ont employé le ciment, la brique. Les portiques de Kabah ressemblent à une construction romaine primitive., Quant aux sculptures, aux décorations murales, aux ornementations, elles sont de même étroitement parentes et certaines céramiques de Mexico seraient prises pour des céramiques égyptiennes.
Est-ce pur hasard ?
Puis, comment expliquer l’apparition du bronze en Europe sans qu’il y ait eu auparavant un âge du cuivre et un âge de l’étain ? Or un âge du cuivre a existé en Amérique vers les Grands Lacs, et c’est le seul lieu de la terre où il a existé ! Là seulement, on retrouve des instruments en cuivre pur. Partout ailleurs on ne retrouve que du bronze. Or le bronze n’a pu être trouvé avant un long usage du cuivre et de l’étain. Le bronze a donc été apporté en Europe, en Asie, en Afrique par un peuple commerçant et hardi. Comment expliquer aussi la découverte en Amérique de pointes de flèches, de haches, et de statuettes en néphrite et en jadéites, alors que nul gisement de ces pierres n’existe en ce pays ? Et d’où viennent ces marteaux de pierre portant le signe sacré et mystérieux du Swastika indou et égyptien.
Enfin, pourquoi ce parti pris des naturels américains de se servir, comme motif d’ornementation, de l’éléphant, qui a disparu de l’Amérique à la fin du Tertiaire et qui d’ailleurs n’y a existé que comme mammouth, lequel diffère sensiblement de l’éléphant ? Car les décorations péruviennes emploient l’éléphant qu’ils ne pouvaient pas connaître et non le mammouth. On trouve en effet au Pérou dés pipes en forme de tête d’éléphant, des vases, des sculptures représentant cet animal et une ornementation basée sur des trompes d’éléphants entrelacées. Notez aussi qu’en Irlande il a été retrouvé des pipes à tête d’éléphant et d’autres ornées qui ressemblent singulièrement aux pipes péruviennes ! Puis pourquoi des pipes en Irlande remontant à une époque très reculée, alors que l’introduction du tabac en Europe est récente ?
Le hasard n’a pu faire si bien les choses et il serait ridicule de vouloir s’appuyer uniquement sur lui dans le but de nier les traditions. Les traditions expliquent ces similitudes par l’existence de l’Atlantide ? Pourquoi ne point les admettre ? En effet, seule l’Atlantide permet d’établir le pourquoi de cette parenté. Elle devient le progéniteur nécessaire et tous ces faits affirment son existence.
Ainsi la science vient à l’appui de la tradition pour affirmer qu’il a dû y avoir un continent intermédiaire entre l’Amérique et l’Europe, un pont naturel qui a servi de passage à la flore, à la faune, et aux races humaines de ces deux continents.
Marc89 ecrit:
Tous ceci montre bien qu'il y a bien eu une Atlantide comme l'avait precisé Platon, mais seul les scientifiques refusent l'evidence et pour mieux enterrer cette histoire ne font pas ressortir toutes ses verités exposés là, plus certaines preuves tres résumées dont une d'impact d'asteroide d'Otto muck, photo a l'appuie presenté dans le lien a la premiere page, et qu'un Doc Tv avait timidement souligné en le confirmant, et preferent l'eloigner de la verité en la pretendant a Santorin, contre l'écrit de Platon qui precise bien "que quoique bien etrange, est bien la verité" et que la date donné par lui, 9000 Ans Av JC, correspond bien a celle des impacts massif de Caroline et des legendes des survivants de cette catastrophe planetaire de part le monde, meme les Guanches, qui toutes concordent, de meme le changement de climat et la disparition totale de nombreuses especes animale de par le monde et de la disparition subite de la civilisation magdalenienne.
Voir Lien pour la photo qui est a grossir.
http://racines.traditions.free.fr/delugesa/
Et ces traces d'impact s'etendent autour de Charleston en Caroline sur un rayon d'environ 600 Km, mais seulement visible du ciel.
Tout colle, mais les scientifiques seront bientot acculés un jour devant les faits et devront etre forcés de reconnaitre la verité.
Interets, quand tu nous tiens, ce sont les grandes puissance d'argent sans scrupule qui y perdront, aussi, tant que durera leurs mensonges........
Vous avez aussi les ecrits d'Anton Park grace aux indiens Hopis sur l'Atlantide ET la Lemurie...
Histoire maintenu tres precise qui c'est transmise oralement de generation en generation, sur des milliers d'années...
http://www.antonparks.com/main.php?page=atlantis_mu
D’anciennes sculptures en pierre représentent une énorme frappe de comète il y a 13 000 ans qui a failli faire disparaître les humains
ASR 18 août 2018
Histoire, Monde, Science
https://www.anguillesousroche.com/monde/danciennes-sculptures-en-pierre-representent-une-e norme-frappe-de-comete-il-y-a-13-000-ans-qui-a-failli-faire-disparaitre-les-humains/
Les anciens nous ont laissé un journal intime gravé sur des piliers de pierre parlant d’un astéroïde cataclysmique il y a 13 000 ans qui a causé une ère glaciaire, tué le mammouth laineux et nous a forcé à moderniser les méthodes agricoles. Se lisant presque comme une bande dessinée, les sculptures en pierre trouvées à Göbekli Tepe ont été traduites par des scientifiques pour révéler une série d’événements qui ont changé la civilisation à jamais.
Les ingénieurs de l’Université d’Edimbourg étudiaient les sculptures d’animaux dans le Göbekli Tepe au sud de la Turquie pour voir comment elles se rapportaient à nos constellations. En examinant un pilier particulier, connu sous le nom de “Vulture Stone” (également appelé pilier 43), ils ont trouvé des descriptions de ce qui a maintenant été confirmé comme un impact de comète qui s’est produit vers 10 950 avant J.-C. C’est à peu près au même moment où une “mini” ère glaciaire a commencé. Cette mini-période glaciaire, appelée Dryas récent, n’a duré que mille ans, mais elle revêt une importance particulière pour les scientifiques en raison de son impact direct sur l’humanité. Les preuves suggèrent que c’est pendant le Dryas récent que la première civilisation néolithique est apparue, en même temps que de meilleures méthodes agricoles. Un article sur Phys.org décrit l’importance de cette période : “La période de refroidissement a amené des groupes de personnes à se regrouper pour cultiver des cultures, ce qui a conduit au développement de l’agriculture, ce qui, à son tour, a donné lieu à d’énormes bonds en matière d’innovations technologiques et de développements sociétaux, c’est-à-dire la civilisation néolithique.” Cette période a également été liée à l’extinction du mammouth laineux.
Bien que de nombreuses recherches aient été effectuées sur le Dryas récent, les scientifiques n’ont jamais été en mesure de déterminer vraiment ce qui a déclenché la période. Des suggestions de frappe d’une comète ont été soulevées, mais il n’y a jamais eu beaucoup de preuves pour valider sa véracité. En fait, la théorie semble avoir été démystifiée il y a plusieurs années lorsque les chercheurs ont suggéré que le Dryas récent était déclenché par des changements plus mondains (et graduels) plutôt que par un impact dévastateur d’astéroïdes.
frappe de comète
Les anciennes sculptures en pierre de la Turquie d’aujourd’hui semblent dépeindre une frappe de comète qui a causé une période de changement climatique. Photo : Martin B. Sweatman et Dimitrios Tsikritsis Tsikritsis
Aujourd’hui, cependant, la théorie des comètes gagne du terrain. Le Telegraph.co.uk cite le chercheur principal Martin Sweatman : “Cette recherche, ainsi que la découverte récente d’une anomalie généralisée du platine sur le continent nord-américain, scellent virtuellement l’affaire en faveur d’un impact de comète du Dryas récent. Notre travail sert à renforcer cette preuve physique… l’un des piliers de Göbekli Tepe semble avoir servi de mémorial à cet événement dévastateur – probablement le pire jour de l’histoire depuis la fin de l’ère glaciaire.”
Göbekli Tepe est considéré comme le plus ancien temple du monde, datant d’environ 9 000 ans avant Jésus-Christ et devançant Stonehenge d’environ 6 000 ans. Les chercheurs affirment que les images gravées sur la Pierre du vautour représentent un grand désastre humain et des pertes de vie considérables, comme en témoignent les égratignures d’un homme sans tête.
D’autres symboles sur les piliers environnants suggèrent que Göbekli Tepe a été utilisé comme observatoire pour surveiller le ciel nocturne. Plusieurs images semblent enregistrer l’axe de rotation de la Terre pendant diverses périodes. Ces résultats suggèrent également que la Terre est plus susceptible de connaître des périodes de collision d’astéroïdes en raison de l’orbite de la planète qui croise les champs gravitationnels des fragments de comètes dans l’espace.
“Beaucoup de peintures rupestres paléolithiques et d’artefacts avec des symboles animaux similaires et d’autres symboles répétés suggèrent que l’astronomie pourrait être très ancienne en effet”, a affirmé le Dr Sweatman. “Si l’on considère que, selon les astronomes, cette comète géante est probablement arrivée dans le système solaire intérieur il y a environ 20 à 30 000 ans, et qu’elle aurait été une caractéristique très visible et dominante du ciel nocturne, il est difficile de voir comment les anciens auraient pu ignorer cela étant donné les conséquences probables.”
A propos des Guanches
LES GUANCHES : Une civilisation aux Canaries et aux Açores
https://terriermichel.wordpress.com/2013/06/01/les-guanches…on-aux-canaries-et-aux-acores/
Les archipels des Canaries et des Açores constitueraient les ultimes vestiges d’un continent englouti.
Les archipels des Canaries et des Açores constitueraient les ultimes vestiges du continent englouti. Qu’on soit d’accord ou pas avec cette hypothèse, il faut reconnaître que l’origine des premiers Canariens pose un réel problème ethnologique. Quand les navigateurs français débarquèrent en 1406 pour la première fois aux îles Canaries, ils se trouvèrent en présence d’indigènes au teint clair et de taille haute, qui se désignaient eux-mêmes sous le terme de Guanches, mot qui veut dire » homme « .
Lorsqu’il fut possible de comprendre leur langue, les Français furent étonnés de voir que,
les Guanches se croyaient seuls au monde, persuadés d’être les derniers survivants d’une terrible catastrophe qui, plusieurs millénaires auparavant, avait anéanti l’humanité toute entière.
A propose de...
Göbekli Tepe fut enregistré en tant que site archéologique en 1963 dans le cadre de recherches turco-américaines. Une équipe d’archéologues américains, dont Peter Benedict, remarqua plusieurs collines étranges recouvertes de milliers de silex cassés, ce qui est un signe certain d’activité humaine. Mais les scientifiques n’eurent alors pas le temps ou les finances pour procéder à des fouilles.
Trois décennies plus tard, un berger de la région aperçut un groupe de pierres aux formes étranges sortant du sol poussiéreux. La « redécouverte » du site parvint aux oreilles des conservateurs du musée de la ville de Şanlıurfa, à cinquante kilomètres. Les responsables du musée contactèrent le ministère approprié, qui, en retour, se mit en relation avec l’Institut archéologique allemand à Istanbul.
Le site a été proposé en 2011 pour une inscription au patrimoine mondial et figure sur la « liste indicative » de l’UNESCO dans la catégorie patrimoine culturel7 jusqu'en juillet 2018, date à laquelle il est inscrit au registre du patrimoine mondial de l'UNESCO.
https://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%B6bekli_Tepe
Et:
Depuis le début des fouilles en 1995, ce site du sud-est de la Turquie a transformé la façon dont les archéologues envisagent les débuts de la civilisation. Ses structures circulaires, ornées de pierres minutieusement sculptées, ainsi que ses piliers caractéristiques en forme de T ont plus de 12 000 ans, plus anciens encore que l'invention de l'agriculture ou de la poterie.
https://www.nationalgeographic.fr/histoire/le-plus-ancien-temple-du-monde-va-etre-restaure
Marc89 ecrit:
Remarque, ce site decouvert en 1963 est encore trop peu connu du public, alors qu'il devrait avoir une notoriété mondiale ou presque au meme titre que les pyramides et connu du public depuis longtemps, qu'on fait les scientifiques, tout l'inversent...et c'est grace a internet que cela ressort petit a petit maintenant, ce n'est pas pour autant que les medias s'en empare et relaye l'information pour en éclairer le monde, un cas de plus que l'on peut ranger dans la categorie de... desinformation par la retention d'information...
Entre l'Atlantide qu'ils veulent ignorer, malgré les preuves evidente et decisive, ce cas, et bien d'autres,
http://www.sciences-faits-histoires.com/blog/preuves-autre-histoire/japon-plusieurs-pyrami des-au-large-de-l-archipel.html
et Yonaguni:
https://www.anguillesousroche.com/archeologie/monument-marin-de-yonaguni-a-t-coule-pendant -derniere-periode-glaciaire/
cela montre bien qu'a l'echelle mondiale, qu'une retention d'information ou manipulation des preuves est bien a l'oeuvre et continu de l'etre. |
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Marc89
Inscrit le: 03 Mai 2014 Messages: 731
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Posté le: Ve 04 Avr 2025 16:32 Sujet du message: |
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Platon situe la date a 9 000 ans avant JC de son engloutissement.
Hors a ce moment ce produit la deglaciation, la disparition dans le monde entier d'especes animales dont 35 rien qu'en amérique du nord dont je vous donnerais aussi les preuves que les derniers resultats scientifique ont prouvé que la science refuse de montrer et de l'engloutissement de l'Atlantide.
Un seul facteur commun peut expliquer cela, une catastrophe cosmique, qui a percuté la terre a ce moment dont ont a toujours les preuves visibles du ciel avec la photo dont la catastrophe a entrainé la disparition totale de la civilisation de Clovis en amerique et celle des Magdaleniens en europe dans le meme temps.
( Pour decouvrir combien la science nous ment voyez dans la section scientifique pour voir une partie de ses mensonges.) |
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Marc89
Inscrit le: 03 Mai 2014 Messages: 731
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Posté le: Me 09 Avr 2025 11:10 Sujet du message: |
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Le texte de de Platon devoile l'emplacement de l'Atlantide en Atlantique, mais ce que ne devoilent jamais les scientifiques, ce sont ces precisions decisive qui montre et l'emplacement et sa realité historique.
Le texte situe l(ile au delà des Colonnes d'Hercule puis d'autres descriptions pour ne pas s'y tromper, "on accede a d'autres iles puis au veritable continent qui entoure cet ocean."
On reconnaitra inevitablement l'Amerique.
( Le recit DE Platon raconte que les Atlantes ont voulu conquerir l'Europe et l'Asie en partant de l'ouest, mais qu'il furent repousses par la civilisation d'Athene d'alors puis arriver au colonnes d'Hercule de gigantesque tremblement de terre les engloutit avec l'Atlantide en deux a trois jours. )
Je vous evite la dizaine de page pour obtenir les preuves physique ou en resumée ce fut la chute d'un asteroide sur la cote de la Caroline, autour de Charleston dont on qui fut la cause de cette catastrophe dont on possede encore les preuves de millliers d'impacts mais vu du ciel tellement elle sont grande et dont j'ai une photo qui le prouverais., mais suivant l'interet que l'on porteras je la mettrais ou pas vu le peu de vu qu'il y a.
Cela explique le changement mondial, geologique, la deglaciation, animaliers, jusqu'a 35 especes disparu rien qu'en amerique du nord et meme la disparition de la civilisation de Clovis au milieu des USA et des magdaleniens en Europe le tout dans le meme temps.
Preuve physique remonté du fond de l'Atlantique :
C'est le "dos" de Reykjanes qui nous conduit à l'étape suivante, le plateau du télégraphe. Celui ci doit son nom à un évenement historique, celui de la pose du cable transatlantique, en 1898, qui ce rompit soudain par 49 degrés nord et 29 degrés à l'ouest de Paris.
Les deux morceaux du cable semblaient etre tombés dans un abime. Il fallut les réccuperer à grand peine au moyen de grappins de haute mer.
Le hasard permit qu'à cette occasion, d'autres objets fussent retirés du fond de la mer, et, parmi ceux ci, un pesant fragment de rocher, qui fut déposé au musée de Paris.
Quinze ans plus tard, il fit l'objet d'un examen par Pierre Termier, alors directeur de l'institut oceanographique.
Un savant dont la renommée avait largement dépassé les frontieres de la France.
Ce fragment de roche était une tachylite, d'une consistance nettement vitreuse.
Termier a fait, sous le titre : L'Atlantide, un rapport, fort remarqué à l'institut oceanographique, consacré aux resultat de cet examen, dont il a ainsi presenté les conclusions :
1/ La roche est d'origine volcanique. A l'endroit ou elle a été trouvée, le fond de l'ocean est recouvert de lave sur un vaste rayon. Dans la region du plateau du telegraphe, ont du avoir lieu d'importantes éruption volcanique, à l'occasion desquelles a coulé cette lave qui constitue la piece que l'on a trouvée.
2/ Ce fragment est amorphe, vitreux, et d'une structure nullement cristalline. Ce n'est pas en eau profonde mais à l'air libre qu'il c'est solidifié.
Le volcan d'ou il provient devait necessairement etre au dessus des flots. La lave qui recouvre aujurd-hui une vaste surface du fond marin est issue d'un ancien volcan terrestre.
3/ Au moment de cette éruption, ou tres peu de temps apres, l'ensemble du secteur s'est enfoncé de plus de 2 000 metres. Ce fragment de lave temoigne de l'existence d'une catastrophe, aux temps prehistorique, au centre de l'atlantique, c'est à dire, là meme ou, d'après Platon, a du s'engloutir l'ile Atlantide.
4/ D'après sa place dans la classification mineralogique, cette piece est, on l'a dit, une tachylite. Les tachylites se dissolvent dans l'eau de mer au bout d'environ 15 000 ans.
Mais la piece en question possede encore des contours nets, n'ayant pas été rongés. Ainsi la catastrophe de l'atlantique, dont elle porte indirectement le temoignage, doit avoir lieu depuis le temps de moins de 15 000 ans, donc après l'an 13 000 avant JC.
Peut etre meme beaucoup plus tard. mais cette date extreme correpond de surprenante façon à l'estimation assez sommaire donnée par Platon : " 9 000 ans avant Solon", c'est à dire environ l'an 10 000 avant JC.
Ce qui correspond d'ailleurs assez bien à la moyenne des évaluations avancées par les geologues pour la fin du quaternaire.
Le resultat des recherches de Termier se heurte à "l'argument Hartung," du nom d'un geologue allemand qui a livré, vers 1860, une description des Açores. Il est question de blocs érratiques trouvés sur les plages et appartenant à une espece minerale étrangere aux iles. Ils proviennent donc d'ailleurs et ont été déposés sur les plages, fort probablement par les icebergs. Ceux ci ont fondu depuis bien longtemps, mais les blocs qu'ils contenaient sont demeurés. Et ont les rencontre sur la ligne actuelle des plages.
Hartung en a donc conclu que la region des Acores n'avait connu aucune modification notable du niveau de la mer depuis la fin de l'époque glaciaire.
Partant de là, Hogborn et quelques autres en ont deduit qu'il n'y avait aucune catastrophe dans la region des Açores, parce que "l'argument Hartung" suffisait à dementir le changement de niveau, inséparable d'une telle catastrophe.
Mais que demontre au juste "l'argument Hartung" ? uniquement le fait qu'au niveau des Açores, il n'y a pas eu d'importante modification du niveau depuis la fin de la periode glaciaire.
Mais il ne demontre pas qu'une telle modification n'est pas pu ce produire juste avant le debut de l'époque postglaciaire, c'est à dire, exactement à la fin du quaternaire, et qu'elle est pu etre achevée, lorsque l'on est progressivement passée à la periode de fonte qui a suivi, les époques glaciaires.
Or, c'est précisement là ce qu'a établit Pierre Termier : accompagnée par de puissantes éruptions volcaniques, une chute de plus de 2 000 metres du niveau s'est produite avec une terrible soudaineté. Quand les glaciers se mirent progressivement a fondre et à ce disloquer en autant de petit glaciers, et lorsque les icebergs entamerent leurs voyages vers les Açores, il n'y avait plus la moindre ile Atlantide, désormais ensevelie, mais un bien modeste archipel, les Açores.
Et, c'est pourquoi ces icebergs ne purent faire leurs depots ailleurs que sur les plages de ces iles. Et depuis lors, il ne s'y est produit aucun nouvel abaissement du niveau de la mer.
A L'envisager sous cet angle, "l'argument Hartung" ne contredit ni le recit de Platon, ni les conclusions de Termier, ni leur interpretation actuelle.
Au contraire, il confirme tout cela si l'on accepte les considerations suivantes :
La concordance predemment exposé entre la theorie de l'Atlantide et "l'argument Hartung" repose sur une condition prealable : L'acceptation du fait qu'il s'est produit, dans la region des Açores, un affaissement soudain et catastrophique du niveau du sol. Cette concordance se transformerait en refus, si cet éffondrement, tenu par Termier, nous était presenté comme un lent processus étalé sur des siecles, pendant d'importantes phases des temps postglaciaires. Car en ce cas, ces blocs érratiques auraient du etre deposés, non pas sur les plages actuelles, mais sur d'autres disparu depuis.
C'est donc leur position qui tranche la question de savoir si l'effondrement en question a eu lieu soudainement ou progressivement.
Ces blocs se trouvent bien là ou ils doivent se trouver si la plage a sombré si rapidement que les icebergs, qui les vehiculaient, les ont deposes sur les plages des iles actuelles, caracteristique de l'époque postglaciaire. " L'argument Hartung" demontre ainsi que si l'atlantide a vraiment sombré, le naufrage n'a pu etre que soudain.
C'est bien ce qu'affirme Platon : " ...en un seul jour et une seule nuit".
Voila donc comment un argument contraire devient la preuve d'un des points les plus discuté du recit de Platon. |
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Marc89
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Posté le: Me 09 Avr 2025 11:10 Sujet du message: |
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L'affaissement du sol dans l'ocean
Voisine immediate du plateau du Telegraphe, la region des Açores nous livre d'autres indices. La bas, le fond marin comporte de nombreuse saillies, aux angles aigus, des crevasses à bords francs, nullement arrondis. C'est un veritable paysage rocheux sous marin, d'ou toute trace de terre a été comme soigneusement lavée par les eaux, et conforme au recit de Platon. Si cela ce trouvait depuis quelques 15 000 ans sous le niveau de la mer, l'eau salée de l'atlantique aurait rongée la lave qui recouvre le sol, et détruit la finesse des profils. Outre cette action chimique, d'autres forces detruisent et nivellent, ce sont les effets du ressac, , le sol marin, demeure aujurd-hui aussi fortement profilé, c'est que le changement de niveau n'a pas eu lieu au cours d'une lente descente. Il aurait en effet suffit de quelques siecles pour qu'agissent les éléments chimiques et mecaniques d'érosion et de nivellement.
L'ile, dont les plus hauts sommets sont encore visible aujourd-hui sous le vocable d'Açores, ne s'est donc pas enfoncée lentement, mais tres rapidement, et il y a de cela moins de quinze mille ans.
On le voit, les documents fournis par la geologie permettent de conclure que toute la region comprise entre Jan Mayen et les Açores a brusquement sombré à la fin du quaternaire, et ce, d'autant plus profondement qu'elle était plus proche du centre du cataclysme, qui pourrait s'etre trouvé en un point au sud des Açores.
On sait en effet que ce cataclysme a étendu ses répercussions, en direction du sud, bien au delà de la region des Açores.
On le sait deja depuis 1900.
Cette année là, le Gauss, le navire d'une expedition scientifique, a retiré du fond de la Romanche ( 7 300 M ) une sonde tubulaire avec un bouchon de dépot sédimentaire de 46 centimetres de longueur. Cette fosse est situé a proximité de l'équateur, à l'ouest du seuil de Liberia, a la limite entre les bassins nord et sud de l'atlantique, à cheval sur le "dos" de l'atlantique qu'elle partage, a environ 4 500 kilometres des Açores.
Sur le dépot du "bouchon" ainsi rapporté par le Gauss, on put constater l'existence de cinq couche : tout en haut, de l'argile, rouge, ensuite, trois couches de sediments continental, exempte de chaux, enfin, tout en bas, un depot calcaire provenant des globigerines.
Mais, conformément au mode de vie de ses protozoaires du plancton ( il ne vivent qu'entre 2 000 et 4 500 metres de profondeur ), un tel depot de calcaire du aux globigerines doit avoir eu lieu alors que la fosse de la Romanche n'était pas en dessous de 4 500 metres de fond. Aujourd-hui, elle en est a 7 300 metres.
Par consequent, en cet endroit, le fond de la mer a du s'abaisser d'au moins 2 800 metres, c'est a dire à peu près la profondeur que Pierre Termier a trouvé pour la region des Açores et du plateau du Telegraphe. Ce qui a pour effet d'etendre notablement vers le sud la zone dans laquelle ont peut constater les repercussions de la catastrophe de la fin du quaternaire.
Ce naufrage soudain d'une surface s'etendant sur un nombre important de millions de kilometres carrés, ne pouvait guere survenir sans accompagnement de violents phenomene sismique et volcaniques. Cela tient a ce que la cuve de sima de l'atlantique, peut tout à fait s'adapter a une deformation progressive ; en revanche, face a une soudaine agression, le materiau dont elle est faite reagit durement et sdans la moindre souplesse.
; il ce casse, il ce crevasse, et, par se fentes, le magma toujours proche de la surface s'empresse de jaillir et de ce repandre. Il est parfaitement exact qu'une grande partie de la fosse atlantique est ainsi recouverte par un tel magma volcanique recent, à la difference du fond du pacifique, à peine moins agité, qui est, lui, constitué par un magma basique, datant du paleogene.
( Premier système du cénozoïque, précédant le néogène, le paléogène se situe au tertiaire, de – 65,5 à – 23 millions d'années (durée : 42 millions d'années). Il est subdivisé en paléocène, éocène et oligocène.)
Cette fois, ce n'est pas de la geologie que provient le document, mais de la paleomineralogie.
Mais la volcanologie ne forunit pas pour autant une moindre contribution. Car l'atlantique est riche en volcans. Un veritable cordon de crateres en activité s'aligne dans la zone ou regne l'agitation. Il suit d'ailleurs en surface le "dos" de l'atlantique, preuve que celui ci est une antique fracture ensuite comblée, toujours plus prompte à ce dechirer qu'un autre endroit normal de la plaque continentale.
( carte 32 )
La chaine des volcans de l'atlantique, porteuse de mort, commence tout au nord, avec le mont Beeren sur Jan Mayen, c'est à dire là ou l'on commence a constater que le fond de la mer s'est abaissé. Elle nous mene ensuite en Islande, ce pays de glace et de feu, ou lors de l'hallucinante éruption, devenue historique, de 1783, près de cinq cents crateres exploserent.
De là, elle nous conduit aux neufs iles des Açores, dont cinq ont des volcans en activité. C'est là le centre de l'agitation ou, comme dans la region de l'Islande, des iles peuvent tout aussi bien apparaitre que disparaitre.
Sur les iles du Cap Vert, c'est le Fuego qui fume, et Madere est egalement un centre sismique secondaire. La ligne de fracture passe par Saint Helene, Tristan de Cunha, et Diego Alvarez, jusqu'au meridionnale Orcades. Un enbranchement bifurque vers les Antilles, ou la Martinique, avec l'effroyable éruption de la montagne Pelée, s'est fait une funeste reputation.
Pres de là aussi ce trouvent les volcans geants de l'amerique centrale. La carte 32 donne un aperçu de cette zone volcanique de l'atlantique, et, du meme coup, l'explication, par la volcanologie, de la raison pour laquelle, dans un tel centre volcanique, les modifications ont plus de chances d'intervenir soudainement que de ce produire progressivement. |
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Marc89
Inscrit le: 03 Mai 2014 Messages: 731
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Posté le: Me 09 Avr 2025 11:11 Sujet du message: |
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L'affaissement du sol dans l'ocean
Les constations de la volcanologie, de la paleominerlogie et de la geologie s'accordent pour reconnaitre que l'affaissement du sol de l'ocean Atlantique n'a pas été l'effet d'une progressive et lente évolution, mais le resultat d'un veritable cataclysme, d'un authentique bouleversement. Nous sommes conduit a chercher le foyer de la catastrophe, le centre d'ou elle c'est declenchée, au sud du plateau du Telegraphe, en raison du fait que la profondeur augmente, a mesure que l'on va vers le sud, au delà de la region des Açores. Nous y serons aidés par les ramifications du systeme des traverses, car nous pourrions y decouvrir les traces d'une totale destruction.
(C'est la carte 30 qui reproduit ce document geologique, dont la liste des seuils sont indiqués....)
La partie nord du bassin atlantique ne semble pas avoir subit la moindre atteinte. Il n'y manque rien. Il en va autrement pour le sud. Là, le seuil de Porto Rico fait l'effet d'un fragment temoignant de la disparition de quelque chose. Il faut ajouter que le bassin nord americain voisin est totalement depourvu de traverses. Ce secteur sud-ouest de l'atlantique nord, qui represente un bon tiers de sa superficie, à connu un destin particulier, qui a fait disparaitre completement les traverses. Ce secteur sud-ouest de l'atlantique nord, qui represente un bon tiers de sa superficie, a connu un destin particulier, qui a fait disparaitre completement les traverses, pourtant nombreuses au debut. C'est également ce meme destin qui est responsable de l'etrange vide, signalé sur la carte 28, entre la Floride et le Cap Hatteras, et qui parait inexpliquable.
De ce qui precede, il apparait que le soudain éffondrement du sol, accompagné de tous les symptomes d'une veritable catastrophe, ne s'est pas limité à la seule partie nord des Açores - il c'est étendu jusqu'a l'ocean arctique - mais qu'il a egalement atteind la sud ouest de cette region. Cet affaissement est egalement responsable du fait que la ville de Charleston soit devenue le centre d'une zone sujette aux tremblement de terre. La carte 38 presente un document sismologique, la repartition de l'intensité des mouvements du sol lors du tremblement de terre du 31 aout 1896. Ce n'est pas par hasard qu'il font cercle autour de la ville.
Faut-il donc admettre que ces trois regions _ l'une confinant au sud de l'ocean arctique, l'autre autour des Açores, enfin, le bassin nord americain - ont été éprouvées par trois catastrophes échelonnées dans le temps ? La routine monotone de la geologie ne permet pas d'y placer des catastrophes a volonté. Il s'agit bien d'une seule et meme catastrophe, qui c'est manifetée simultanément dans ces trois secteurs.
Les documents reunit par cette science attestent que le cataclysme de l'atlantique, qu'il s'agit de reconstituer ici, a bien été une éffroyable realité de l'histoire du globe. Elle a interrompu l'existence quotitienne de la terre et a mis fin, avec une formidable soudaineté, à l'ère quaternaire.
Il ne s'agit pas d'une pure hypothese.
De nouvelles preuves, tirées du sol meme, et que commente le professeur Hans Petterson dans son livre l'Atlantide et l'Atlantique, confirment les resultats des precedentes deductions. Cette fois, cette fois, le document geologique est un ensemble de "carottes" de presque trois mettres de long.
C'est le geophysicien americain Piggot, qui les a retirées de l'atlantique. Et il a constaté qu'on y decouvre souvent deux zones particulierement riches en cendres volcaniques.
Petersson dit a ce propos : " Cette cendre doit provenir d'énormes éruptions volcaniques, qui ont eu lieu, soit du fait des volcans des indes occidentales, soit plus vraissemblablement, des volcans du centre du "dos " de l'atlantique."
Mais le plus important vient ensuite :
" La couche volcanique superieure ce trouve au dessus du résidu glaciaire le plus haut placé, ce qui prouve que cette catastrophe volcanique, ou ces catastrophes, ont eu lieu à l'époque postglaciaire..."
Voila qui suffit pour recuser definitivement l'argumentation de Hoghom contre les conclusions de Termier. Les "bouchons records" attestent de façon irréfutable qu'un cataclysme volcanique a bien eu lieu en atlantique, qu'il a marqué la fin du quaternaire et amorcé l'époque postglaciare.
On a trouvé des "carottes" analogues aux environs de Terre-Neuve. Elle aussi étaient penetrées par des cendres volcaniques, et toutes provenaient de l'époque critique de transition entre le quaternaire et l'époque actuelle.
Petersson n'a pu s'empecher de remarquer : " De toute façon, cela fournit un e excelente raison d'admettre qu'apres les derniere grande glaciation, un temps est venu - pendant lequel Platon place la disparition de l'Atlantide - , qui a veritablement subi une catastrophe volcanique et sismique, située dans la zone nord de l'atlantique. "
Mais les fonds marins nous apportent autre choses.
L'une des "carottes" a été recueillie sur le "dos" de l'atlantique central, c'est à dire là ou ce trouvait, d'après Platon, l'Atlantide, cette grande ile, et ou, d'après nois deductions precedentes, devait s'etre trouvée, au quaternaire, une puissante "ile - barrage" du Gulf Stream ! C'est pourquoi cette fouille du sol de l'atlantique etait particulierement interessante.
Or qu'a révélé cette "carotte" ? Ainsi qu'il fallait s'y attendre, elle était fort differente de celles ramenées jusqu'ici, de part et d'autres de la fosse atlantique. Et elle était remarquablement courte : 8 centimetres seulement, d'un dur sédiment.
Voici l'explication du professeur Pettersson :
" En dessous, on dirait que la sonde a buté sur un materiau dur, probablement un fond rocheux, dont on n'a recueilli aucun échantillon... il n'est donc aucunement exclus que le "dos" de l'atlantique, d'ou provient l'échantillon, ce trouvait encore au dessus du niveau de la mer, il y a seulement quelque 10 000 ans, et que c'est ulterieurement qu'il a sombré jusqu'a sa profondeur actuelle..."
Suite... |
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Marc89
Inscrit le: 03 Mai 2014 Messages: 731
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Posté le: Me 09 Avr 2025 11:13 Sujet du message: |
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P: 183 - 184
Le déluge
Après l'asteroide tombé, les cendres monter par billiards de tonnes dans la haute atmosphere grace a la vapeur surchauffé de la lave, puis retombant, le recit de Gilgamesh decrivant l'effet du déluge, de Leonard Wooley et de l'equipe lors de leur fouilles desormais célèbres, à warka-Ur, en 1928, tombé sur un inconstestable vestige de ce que l'on prenait pour un raz de marée légendaire : une couche de limon, exempte de tout object, de 2,50 metres dépaisseur, à 12 metres en dessous du niveau actuel du sol, en dessous des tombes royales du debut de l'époque Sumerienne.
Wooley lui meme pour sa part, ne pouvait conserver aucun doute : il s'agissait là de la preuve qu'il y avait eu, effectivement, une formidable inondation. N'avait-il pas sous les yeux la liste des dynasties royales sumeriennes qui s'etendent jusqu'au deluge ?
Wooley a cependant fixé une date à cette couche vierge de tout object ; il la situe au quatrieme millenaire avant JC.
De quel droit ? Meme le plus ingenieux des archeologues, mis en presence d'une couche vide de tout object et situé sous une autre couche riches en objets divers, pourra simplement affirmer qu'elle est plus ancienne, mais ne saura pas dire de combien.
Voir, ainsi qu'il l'a fait, dans cette couche alluviale "vide", la trace d'une inondation d'une particuliere importance parmi celle qui surviennent periodiquement dans la zone inondable du Tigre et de l'Euphrate, est une hypothese impossible à soutenir. De tels évenements ne laissent pas derriere eux des couches "vides". Quand la mer submerge le pays, ou lorsque les fleuves sont en crue et recouvrent leurs rives, les flots déchainés emportent avec eux, les hommes, le betail, les maisons, les objets usuels. Tout cela forme le sédiment quand les eaux ce retirent, et ce trouvent mélangé a la boue deposée par l'inondation, et à la terre arable prelevée pendant la crue. Lorsque c'est ainsi que ce forment des couches alluviales, elle ne peuvent etre "vides", elle doivent ici ou là, contenir quelques corps étranger, qu'il s'agisse d'un squelette d'homme ou d'animal, d'un morceau de bois de fossile, d'objets usuels, bref, d'un vestige interessant l'archeologie.
Telles sont les considerations qui permettent de conclure que la couche "vide" decouverte par Woolley ne saurait etre le produit d'une de ces banales inondations.
Seule, en effet, une pluie de boue et de cendres comme celle qui, voila quelque dix mille ans, balaya tout sur son passage, aura été en mesure de provoquer la formation d'un ultime sédiment parfaitement lavé par les grandes eaux, cette couche d'argile alluviale d'un grain tres fin, depourvue de tout objet capable d'interesser l'archeologie, les flots de la pluie ayant préalablement roulé jusqu'a la mer tout ce qui pouvait ce fossiliser.
Ces deux metres et demi d'épaisseur d'argile constituent un document geologique justifiant la realité de cette monstrueuse inondation dont la bible dit : "... Toutes les sources du grand abime jaillirent et les écluses du ciel s'ouvrirent, et la pluie tomba sur la terre durant quarante jours et quarante nuit...Les eaux crurent et devinrent extremement grosses sur toute la terre et couvrirent toutes les hautes montagnes qui sont sous le ciel tout entier. Les eaux s'éleverent de quinze coudées au dessus des montagnes qu'eles recouvrirent...Et les eaux furent hautes sur la terre pendant cent cinquante jours" (Genese, VII)
Est là une exageration ? les montagnes bordant la basse plaine de Mesopotamie étaient-elles veritablement submergées ? L'épaisseur de la& couche, mesurée par Woolley, permet un certain controle quantitatif. Car cette couche alluviale ne represente que le reste de la boue tombée du ciel que les flots de la pluie n'ont pas entrainée à la mer, et qui a constitué la base du sédiment deposé sur la terre lors du retrait des eaux.
Il ne sera resté qu'une minime partie, a peine 5 à 10%, de la totalité de la boue. A supposer que celle ci ait pu ce deposer en totalité, l'épaisseur de la couche "vide" n'eut pas été de 2,50 metres, mais de 25 à 50 metres. On peut a partir de là pour se faire une idée de la masse des eaux. Parlons poids : on peut compter vingt parties d'eau, en moyenne pour trois parties de cendre et de boue, c'est à dire - le poids specifique de cette matiere étant de trois kilos par litre - en volume, une partie de boue pour vingt parties d'eau. Ainsi la couche d'eau correspondante était a peu près vingt fois plus haute que la couche de boue demeuré intacte par hypothese, ce qui nous donne une hauteur d'eau d'eau de 500 à 1 000 metres. De quoi recouvrir largement toutes les collines et tous les vallonnement de la region, voire de les dépasser " de quinze coudée ". Sur la totalité du pays des deux fleuves, peuplés en majorité de bergers et de nomades, il n'existait aucune élévations du sol susceptible de servir d'abri contre de telles masse d'eau. Le recit biblique n'a en rien exagéré.
Ira t-on objecter que le calcul n'a pas donné plusz qu'une moyenne de 30 metres de pluie ? Comment cela peut-il justifier une submersion beaucoup plus grande en Mésopotamie ?
La reponse est simple : la moyenne des hauteurs de pluies ,'est pas seule en cause, mais l'irruption effective des eaux telle qu'elle correspond à la structure geographique de la cuvette de réception. Ce n'est pas en effet, la seule moyenne normale des pluies qui suffirait a alimenter les deux grands fleuves, le Tigre et l'Euphrate. Ceux ci doivent leur importance au fait qu'ils disposent d'un immense bassin d'alimentation, s'étendant bien au delà des limites de la Mesopotamie. Ce qui s'applique ausi aux conditions hydrographiques inhabituelle pendant le deluge. Pour ces masses d'eaux également, la Mesopotamie, la vallée entre les deux fleuves geants, a servit de canal de reception vers lequel convergeaient les eaux de pluie tombant sur l'ensemble de la region nord. Une véritable marée s'est formée, dont la hauteur a pu depasser largement les trente metres de moyennes des pluies, calculés pour l'ensemble de l'Eurasie. C'est pourquoi nous sommes en droit de dire que la decouverte de Woolley confirme le texte de la bible et le recit Sumerien a propos du déluge, tant du point de vu qualitatif que quantitatif.
A suivre... |
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Marc89
Inscrit le: 03 Mai 2014 Messages: 731
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Posté le: Me 09 Avr 2025 11:15 Sujet du message: |
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A voir des extraient :
https://fr.wikisource.org/wiki/L%E2%80%99Atlantide_(Pierre_Termier)
.......
Pierre Termier
L’Atlantide
Revue scientifique (Revue rose), année 51, 1er semestre, 1913 (p. 37-45).
Dans l’été de 1898, un navire était employé à la pose du câble télégraphique sous-marin qui relie Brest au cap Cod. Le câble avait été rompu ; et on cherchait à le repêcher, au moyen de grappins. C’était par 47° 0′ de latitude nord et 29° 40′ de longitude à l’ouest de Paris, à 500 milles environ au nord des Açores. La profondeur moyenne était d’à peu près 1 700 brasses, ou 3 100 mètres.
Les esquilles, ainsi arrachées à des affleurements rocheux du fond de l’Atlantique, sont d’une lave vitreuse, ayant la composition chimique des basaltes et appelée tachylyte par les pétrographes. Nous conservons quelques-uns de ces précieux fragments au Musée de l’École des Mines de Paris.
Le fait a été signalé en 1899 à l’Académie des Sciences. Peu de géologues en ont, à ce moment-là, compris la très grande portée. Une telle lave, entièrement vitreuse, comparable à certains verres basaltiques des volcans des îles Sandwich, n’a pu se consolider à cet état que sous la pression atmosphérique. Sous plusieurs atmosphères, et à plus forte raison sous 3 000 mètres d’eau, elle aurait certainement cristallisé. Elle nous apparaîtrait formée de cristaux enchevêtrés, au lieu d’être faite uniquement de matière colloïdale. Les études les plus récentes ne laissent, à ce sujet, aucun doute ; et je me contenterai de rappeler l’observation de M. Lacroix sur les laves de la montagne Pelée de la Martinique : vitreuses, quand elles se figent à l’air libre, ces laves se remplissent de cristaux dès qu’elles se refroidissent sous un manteau, même peu épais, de roches antérieurement solidifiées. La terre qui constitue aujourd’hui le fond de l’Atlantique, à 900 kilomètres au nord des Açores, a donc été couverte de coulées de laves quand elle était encore émergée. Elle s’est, par conséquent, effondrée, descendant de 3 000 mètres ; et comme la surface des roches y a gardé l’allure tourmentée, les rudes aspérités, les arêtes vives des coulées laviques très récentes, il faut que l’effondrement ait suivi de très près l’émission des laves, et que cet effondrement ait été brusque. Sans cela, l’érosion atmosphérique et l’abrasion marine eussent nivelé les inégalités et aplani toute la surface. Continuons le raisonnement. Nous sommes ici sur la ligne qui joint l’Islande aux Açores, en pleine zone volcanique atlantique, en pleine zone de mobilité, d’instabilité et de volcanisme actuels. Conclusion nécessaire : toute une région au nord des Açores, comprenant peut-être les Açores et dont ces îles, dans ce cas, ne seraient que les ruines visibles, s’est effondrée tout récemment, probablement à cette époque que les géologues appellent actuelle tant elle est récente, et qui, pour nous, les vivants d’aujourd’hui, est quelque chose comme hier.
Si vous vous rappelez maintenant ce que je vous disais tout à l’heure de l’inégalité extrême des fonds au sud et au sud-ouest des Açores, vous penserez avec moi qu’un dragage minutieux donnerait, au sud et au sud-ouest de ces îles, les mêmes résultats qu’ont donnés, au nord, les opérations de repêchage du câble télégraphique. Et devant vos yeux s’agrandira alors, presque démesurément, la région effondrée, la région qui s’est brusquement abîmée hier, et dont les Açores ne sont plus que les témoins, échappés à l’écroulement général.
....
Pour moi, je ne puis plus ne pas penser aux brusques mouvements de l’écorce terrestre, et, parmi eux, à ce phénomène terrifiant de la disparition presque soudaine de quelque pan de continent, de quelque élément d’une chaîne de montagnes, de quelque grande île, dans un gouffre de plusieurs milliers de mètres de profondeur. Qu’un tel phénomène se soit produit, et même répété à bien des reprises, au cours des dernières périodes géologiques, et qu’il ait souvent atteint une ampleur gigantesque, c’est ce dont aucun géologue n’a le droit de douter.
On s’étonne parfois que de semblables cataclysmes n’ait pas laissé de traces sur nos rivages, sans réfléchir que c’est la soudaineté même de leur survenue et de leur fuite qui les rend difficilement saisissables. Aucun d’eux, à la vérité, ne s’est déchaîné sans provoquer un abaissement du niveau moyen des mers ; mais la compensation ne s’est point fait attendre, et le rapide soulèvement d’un autre compartiment du fond océanique, ou la sortie, plus lente, et à tout jamais inimaginable, des fleuves sous-marins de laves, a bientôt rétabli l’équilibre : tant est précise la balance où sont pesés, d’un côté les abîmes, de l’autre les montagnes.
Et quand je relis ainsi, dans ma pensée, ces pages terribles de l’histoire de la Terre, volontiers, devant la mer qui sourit, indifférente, devant la mer « plus belle que les cathédrales », je songe au dernier soir de l’Atlantide, auquel ressemblera peut-être le dernier soir, le « grand soir », de l’humanité. Tous les jeunes hommes sont partis pour la guerre, par delà les îles du Levant et les lointaines Colonnes d’Hercule ; ceux qui sont restés, hommes d’âge mûr, femmes, enfants, vieillards et prêtres, interrogent anxieusement l’horizon marin, espérant y voir poindre les premières voiles, annonciatrices du retour des guerriers. Mais, ce soir, l’horizon est vide et sombre. La mer semble devenir ténébreuse ; et, comme elle, le ciel se charge de menaces. Depuis plusieurs jours, la terre a frémi et tremblé. Le sol s’est fendu, çà et là, exhalant des vapeurs brûlantes. On dit même que, dans la montagne, des cratères se sont ouverts, par où jaillissent des fumées et des flammes, et qui lancent en l’air des pierres et des cendres. Maintenant, il pleut partout une poussière grise et chaude. La nuit est venue tout à fait, effroyablement noire : et l’on ne verrait rien, si l’on n’avait allumé quelques torches. Prise soudain d’une terreur folle, la multitude se rue dans les temples ; mais voici que les temples s’écroulent, cependant que la mer s’avance, envahissant le rivage, avec une clameur atroce qui couvre, invinciblement, toutes les autres clameurs. Quelque chose passe, qui pourrait bien être la Colère de Dieu. Puis, tout s’apaise ; il n’y a plus ni montagnes, ni rivage ; il n’y a plus que la mer insoucieuse, endormie sous le ciel du Tropique aux astres innombrables ; et, dans le souffle des alizés, j’entends chanter la voix du poète immortel :
Ô flots, que vous savez de lugubres histoires !
Flots profonds, redoutés des mères à genoux !
Vous vous les racontez en montant les marées ;
Et c’est ce qui vous fait ces voix désespérées
Que vous avez, le soir, quand vous venez vers nous !
Pierre Termier
Membre de l’Académie des Sciences,
Directeur du Service de la Carte Géologique de la France. |
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Marc89
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Posté le: Me 09 Avr 2025 11:16 Sujet du message: |
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Et :
https://books.openedition.org/editionsmsh/3425?lang=fr
En 1905, l’ingénieur et ex-ministre des Finances à Athènes, Phocion Negris fait une communication au Congrès international d’archéologie d’Athènes sur « la question de l’Atlantis de Platon ». Il remarque notamment : « Ainsi donc l’accord entre le récit de Platon et les phénomènes géologiques se poursuit jusque dans les moindres détails. Tout doute doit cesser ; l’Atlantis a existé. »
20En 1913, Louis Germain publie dans les Annales de géographie une étude intitulée « Le problème de l’Atlantide et la zoologie », dans laquelle il conclut :
On peut [...] apporter cette certitude : qu’un grand continent a jadis existé au milieu de l’Atlantique là même où Platon situe son Atlantide ; que les Açores, Madère, les Canaries, l’archipel du Cap-Vert en sont les derniers vestiges ; enfin que les ultimes secousses de l’effroyable cataclysme qui fit disparaître sous les eaux une terre aussi considérable sont assez rapprochées de nous pour que l’homme en ait conservé la tradition orale, tradition que les écrivains grecs nous ont fidèlement transmise, à peine affaiblie par l’empreinte du temps (Germain 1913).
21Le 30 avril 1928, Léonce Joleaud, professeur à la Sorbonne, donne une conférence à la Société de géographie sur « L’Atlantide envisagée par un paléontologiste » (Joleaud s. d.). Il s’interroge : « Doit-on ou ne doit-on pas faire état du récit de Platon dans des recherches d’ordre scientifique ? Convient-il de discuter l’exactitude des indications données par le Timée et le Critias, ou bien faut-il envisager les chapitres de l’histoire de l’Atlantide dans ces livres comme une fiction poético-philosophique ? » Joleaud conclut :
Les livres de Platon, dans leur partie traitant de l’Atlantide, sont précisément remarquables, comme on l’a vu, par la netteté des documents géologiques dont ils font état. Et ce point mériterait même à lui seul d’assurer une place, dans le domaine des recherches scientifiques, au problème atlantéen.
Comme d’autres scientifiques à cette époque, le géologue Pierre Termier, professeur à l’École des mines de Paris, se penche sur l’énigme de l’Atlantide. Dans une conférence donnée le 30 novembre 1912 à l’Institut océanographique de Paris, il explique que « depuis un petit nombre d’années, la science revient à l’Atlantide. Quelques naturalistes, géologues, zoologistes ou botanistes se demandent aujourd’hui si Platon ne nous a pas transmis, en l’amplifiant à peine, une page de la réelle histoire de l’humanité. Aucune affirmation n’est encore permise ; mais il semble de plus en plus évident qu’une vaste région, continentale ou faite de grandes îles, s’est effondrée à l’ouest des Colonnes d’Hercule, autrement dit du détroit de Gibraltar, et que son effondrement ne remonte pas très loin dans le passé » (Termier 1913 : 2). Termier évoque la question des ponts intercontinentaux, ainsi que la présence de volcans sous-marins, témoins d’effondrements de terrain. Il a la « certitude que quelques-uns de ces effondrements datent d’hier, sont d’âge quaternaire, et qu’ils ont pu, par conséquent, être vus par l’homme ; certitude que quelques-uns ont été soudains, ou tout au moins très rapides. Voilà de quoi encourager ceux qui se fient encore au récit de Platon. Géologiquement parlant, l’histoire platonicienne de l’Atlantide est extrêmement vraisemblable »
Alors que la démarche de Dévigne entendait s’inscrire dans un cadre purement scientifique, celle de Le Cour va bien au-delà. Certes, Paul Le Cour veut « montrer que l’étude de l’élément essentiel de la transmission des idées et des croyances, le langage, suffit pour projeter de vives lumières tant sur l’existence de l’Atlantide que sur la nature des traditions atlantéennes et sur la priorité si discutée de la civilisation » (ibid. : 657). Il semble donc vouloir développer une démarche comparative basée sur la linguistique. Il ajoute un peu plus loin : « On ne peut s’empêcher d’être frappé en constatant que certains de ces mots et certaines constructions de langage existent avec des analogies étonnantes de part et d’autre de l’Atlantique depuis les temps les plus reculés. » D’où la nécessité d’admettre « à une époque lointaine [...] une connexion entre les deux rives ». Le Cour renverse presque l’ordre des preuves, la comparaison des langues permettant d’affirmer la thèse géologique. Il évoque la surprise des conquistadors qui découvrirent que les peuples du Mexique adoraient la croix et avaient des rites rappelant ceux des mystères grecs. Il note que le même mot « Maya » désigne les anciens habitants du Yucatán et une localité du Pays basque espagnol (ibid. : 658-659). Il trouve des similitudes dans l’écriture, dans l’importance accordée aux nombres 3, 5 et 7 de part et d’autre de l’Atlantique. Il établit un parallèle entre la kabbale et le cheval (caballus), « attribut essentiel de Neptune-Poseidon, roi des Atlantes », ce qui lui permet de dire que « si les Kabbalistes déclarent que leurs livres renferment de vastes connaissances cachées, il est loisible d’en déduire que c’est encore des connaissances atlantéennes qu’il s’agit » (ibid. : 663). |
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Marc89
Inscrit le: 03 Mai 2014 Messages: 731
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Posté le: Me 09 Avr 2025 11:18 Sujet du message: |
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Je continue...
Ainsi, l'histoire du déluge universel, s'explique, et pas autrement, en ayant prouver la catastrophe grace a des scientifiques, par la confrontation de la lave et de l'eau emporté par la cendre representant des billiards de tonnes.
Ce n'est donc plus étonnant de retrouver des traditions partout dans le monde, d'un déluge universel.
Voici ces traditions :
https://questcequelaverite.com/les-legendes-de-deluge-a-travers-le-monde/
Des récits éparpillés dans le monde très similaires au récit biblique
Voici un exemple avec un récit aztèque:
Lorsque l’humanité fut submergée par le déluge, personne ne fut préservé, si ce n’est un homme nommé Coxcox… et une femme appelée Xochiquetzal, qui se sauvèrent dans une petite barque.
Après avoir atterri sur une montagne appelée par eux Colhuacan, ils eurent un grand nombre d’enfants; …
Ces enfants sont tous nés muets, jusqu’à ce qu’une colombe d’un arbre élevé leur ait transmis des langues, mais tellement différentes qu’ils ne pouvaient pas se comprendre1.
Cela ressemble à une version tronquée du récit biblique du déluge de Noé et de l’origine des nations et des langues à Babel.
C’est l’un des nombreux récits qui décrit d’un déluge cataclysmique, provenant de cultures diverses dont certaines sont très éloignées géographiquement, comme certaines îles du milieu du Pacifique et, séparées par des milliers de kilomètres.
Une déduction réaliste est que toutes ces cultures peuvent de manière satisfaisante être considérées comme originaires de la famille de Noé qui a survécu au déluge selon la Bible.
Les souvenirs du récit réel ont été transmis, génération après génération, et des distorsions s’y sont glissées, comme on peut s’y attendre pour les récits qui n’ont pas été consignés à l’écrit, mais seulement transmis oralement.
Une histoire de déluge aborigène
On raconte comment, il y a longtemps, il y a eu une inondation qui a recouvert les montagnes, de sorte que de nombreux Nurrumbunguttias, ou hommes et femmes spirituels, se sont noyés.
D’autres, dont Pund-jil, ont été rattrapés par un tourbillon dans le ciel. Quand les eaux se sont retirées, et les montagnes sont apparues à nouveau, et que la mer est revenue à sa place, le fils et la fille de Pund-jil ‘sont retournés sur terre et sont devenus les premiers des vrais hommes et femmes qui vivent dans le monde aujourd’hui2.
Le récit parle de montagnes recouvertes par une inondation, et de personnes qui y survécurent et furent les premiers à repeupler la terre. Encore des similitudes renversantes ici.
Un récit des Indiens d’Amérique du Nord
Les Indiens d’Amérique du Nord, ont plusieurs histoires d’inondations. Une de la tribu Choctaw qui raconte comment:
Il y a longtemps, les hommes devinrent si corrompus que le Grand Esprit les détruisit dans un déluge. Un seul homme fut sauvé – un prophète dont le peuple n’a pas tenu compte des avertissements et à qui le Grand Esprit a ensuite ordonné de construire un radeau à partir de rondins de sassafras.
Après plusieurs semaines, un petit oiseau a guidé le prophète vers une île où le Grand Esprit a transformé l’oiseau en une belle femme qui est devenue l’épouse du prophète. Leurs enfants ont ensuite repeuplé le monde3.
Voici une liste des similarités:
La divinité envoie un déluge
Le monde périt sauf un homme juste
Les avertissements ont été ignorés
Il reçoit l’ordre de construire un radeau
Le déluge a duré plusieurs semaines (dans la Bible, Noé passe un an dans l’arche)
L’humanité provient de cet homme juste
Voilà pas mal de détails qui sont similaires au récit biblique.
Des récits chinois de déluge
Il y a quelques histoires de la Chine ancienne. L’une est enregistrée dans le livre chinois de toutes les connaissances, depuis les temps anciens. C’est une collection de 4320 volumes qui raconte les répercussions de la rébellion de l’humanité contre les dieux et qui contient ce texte :
La Terre fut ébranlée jusqu’à ses fondements. Le ciel coula plus bas vers le nord. Le soleil, la lune et les étoiles changèrent leurs mouvements.
La Terre s’effondra et les eaux de son sein se précipitèrent vers le haut avec violence et ont débordé la Terre4.
Ici aussi nous retrouvons le modèle du déluge biblique, avec notamment les eaux qui provenaient de la croûte terrestre et jaillirent, produisant notamment des fortes pluies et des mouvements de plaques tectoniques, la dérive des continents, du volcanisme, l’approfondissement de la mer par la suite etc…
La dérive des continents, la formation des montagnes et le déluge
Une autre histoire, dans le folklore des Bahnars, une tribu primitive de Cochin, en Chine, raconte comment les rivières ont gonflé :
jusqu’à ce que les eaux atteignent le ciel, et que tous les êtres vivants périrent sauf deux, un frère et une sœur, qui ont été sauvés dans un énorme coffre. Ils prirent avec eux dans le coffre une paire de toutes sortes d’animaux5.
Ici nous retrouvons encore l’idée de l’humanité entière qui périt, mais aussi le concept des paires d’animaux dans l’arche détaillé dans le récit de la genèse biblique.
Notons déjà que les quelques récits que nous avons cité proviennent de Chine, d’Australie, du Mexique Centrale, et de l’Amérique du Nord. Nous sommes très loin du Moyen-Orient-orient et de Moïse, l’auteur du livre de la genèse.
L’Egypte et le déluge
Les histoires d’inondations du continent africain sont rares, mais une d’Egypte raconte l’histoire d’un ancien dieu de la création, Tem, qui:
fut responsable de l’inondation des premiers âges, qui a couvert toute la terre et détruit toute l’humanité à l’exception de ceux du bateau de Tem6.
La tradition du déluge chez les Incas
Les Incas du Pérou ont aussi une tradition du déluge:
Ils racontèrent que l’eau s’était élevée au-dessus des plus hautes montagnes du monde, et que tous les êtres humains et toutes les choses créées avaient péri.
Aucun être vivant ne s’était échappé, sauf un homme et une femme, qui avaient flotté dans une boîte sur la surface des eaux et avaient donc été sauvés7.
Les histoires des tribus teutoniques de Scandinavie
Les histoires des tribus teutoniques de Scandinavie sont vives et terrifiantes. L’imagerie de ces légendes souligne la dimension du cataclysme. L’un de ces contes décrit le chaos du monde lorsque le puissant loup Fenrir se secoua et:
fit trembler le monde entier. Le frêne vieilli Yggdrasil [envisagé comme l’axe de la terre] fut secoué de ses racines à ses branches les plus hautes. Les montagnes s’effondrèrent ou se divisèrent de haut en bas… ». Les hommes «furent chassés de leur foyer et la race humaine fut balayée de la surface de la terre.
La terre elle-même commença à perdre sa forme. Déjà les étoiles dérivaient du ciel et tombaient dans le vide béant. … Des flammes jaillirent des fissures des roches; partout il y avait un sifflement de vapeur. Toutes les choses vivantes, toutes les plantes, ont été effacées. …
Et alors toutes les rivières, toutes les mers se levèrent et débordèrent. De tous les côtés, les vagues se heurtèrent aux vagues. Elles gonflèrent et bouillirent et recouvrèrent lentement toutes choses. La terre coula sous la mer… ».
Puis lentement «la terre émergea des vagues. Les montagnes furent relevées…. Les hommes réapparurent également. … Enfermés dans le bois même du frêne Yggdrasil… les ancêtres d’une future race d’hommes avaient échappé à la mort8.
Ici aussi certains détails sont remarquablement similaires au modèle biblique. Le volcanisme et les sifflements de vapeur mentionnés dans le récit semblent correspondre au modèle biblique qui indique l’éclatement de la croûte terrestre et le surgissement des eaux souterraines sous formes de geysers et vapeurs surchauffées, entraînant la pluie, le réchauffement de l’océan, l’augmentation de son niveau, le volcanisme etc…
Les sceptiques face aux récits dispersés d’un déluge global
Donc, la grande question est : comment les gens qui n’acceptent pas l’inondation mondiale, et cela inclut également beaucoup de gens dans l’église aujourd’hui, expliquent-ils toutes ces légendes d’inondation?
Parce qu’encore une fois, l’explication la plus raisonnable est que toutes ces légendes trouvent toutes leur racine dans la même expérience d’une inondation globale qui est consignée dans la genèse.
Il existe 500 légendes d’inondation dans le monde, il est donc très difficile d’expliquer ce phénomène s’il n’y a pas eu un déluge global, de plus que l’évènement est associé au redémarrage de la population humaine et que plusieurs détails récurrents identiques apparaissent dans ces récits.
Les sceptiques tentent d’expliquer ces mythes de déluge comme on les appelle, en suggérant que peut-être tous les peuples de ces civilisations éloignées ont vécu des inondations différentes qui, par hasard, avaient toutes ces caractéristiques en commun, sur lesquelles ils ont fondé leurs histoires. Cela est-il sensé comme explication ?
Très peu dira-t-on poliment. Toutes sortes de petites inondations distinctes partout dans le monde auraient entraîné des récits d’inondations mondiaux remarquablement similaires.
Les sceptiques indiquent des preuves sommaires de nombreuses inondations locales assez importantes survenues dans le monde il y a des milliers d’années.
L’explication des légendes de déluge sur Wikipédia
Par exemple, Wikipedia suggère que quelques-unes de ces inondations locales sont à la base des récits d’inondation dans les régions où elles se sont produites. Par exemple :
Il a été postulé que le mythe du déluge en Amérique du Nord pourrait être basé sur une élévation soudaine du niveau de la mer causée par l’assèchement rapide du lac préhistorique Agassiz à la fin de la dernière période glaciaire, il y a environ 8 400 ans9.
Notons-le « il a été postulé ». Le lac Agassiz s’est probablement drainé après la période glaciaire, mais la période glaciaire elle-même fut le résultat naturel du déluge global.
La même page Wikipédia rapporte aussi ceci:
« Des fouilles en Irak ont révélé des preuves d’inondations localisées à Shuruppak (Tell Fara moderne, Iraq) et dans plusieurs autres villes sumériennes »
Suite... |
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Marc89
Inscrit le: 03 Mai 2014 Messages: 731
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Posté le: Me 09 Avr 2025 11:20 Sujet du message: |
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...Voici également une autre explication:
Adrienne Mayor a fait l’hypothèse que les histoires d’inondations mondiales étaient inspirées par des observations anciennes de coquillages et de fossiles de poissons dans les régions intérieures et montagneuses.
Les anciens Grecs, Égyptiens et Romains ont tous documenté la découverte de tels restes dans ces endroits; les Grecs ont émis l’hypothèse que la Terre avait été recouverte d’eau à plusieurs reprises, citant les coquillages et les fossiles de poissons trouvés sur les sommets des montagnes comme preuve de cette histoire.
Si ces petites inondations ou la découverte de fossiles marins sur les montagnes ont été l’étincelle de ces légendes de déluge, comment en expliquons-nous les étonnantes similitudes ?
Un autre commentaire de Wikipédia se lit comme suit:
Une autre hypothèse est qu’un météore ou une comète s’est écrasé dans l’océan Indien vers 3000-2800 ans avant JC, a créé le cratère sous-marin de 30 kilomètres et a provoqué un tsunami géant qui a inondé les terres côtières.
Comment celle solution fonctionne-t-elle ? Si cela s’était réellement produit, premièrement, comment cela a-t-il abouti à une histoire sur les humains mauvais et violents, au créateur qui envoie une inondation, à la personne juste qui est autorisée à survivre pour repeupler la terre, l’origine des langues etc…
Et puis, deuxièmement, comment cette même histoire a-t-elle circulé dans le monde entier ?
Ce sont là 2 problèmes majeurs.
Les similitudes entre les récits
Le «Dictionnaire du folklore, de la mythologie et des légendes» de Funk et Wagnall, mentionne ceci:
«Un cataclysme mondial au cours duquel la terre a été inondée ou submergée par l’eau: un concept que l’on retrouve dans presque toutes les mythologies du monde10»
Le dictionnaire décrit ensuite le «squelette de l’histoire du déluge habituel »:
«Les dieux (ou un dieu) décident d’envoyer un déluge sur le monde, généralement en punition d’un acte, d’un tabou cassé, de la mort d’un animal, … mais parfois sans raison.
Certains êtres humains sont avertis, ou cela vient sans avertissement. Si averti, les gens construisent une sorte de navire (raf, arche, bateau, grand canoë …), ou trouvent d’autres moyens de s’échapper (escalader une montagne ou un arbre, un arbre en croissance, une île flottante, une calebasse ou une noix de coco, une tortue) arrière, grotte de crabe, etc …).
Parfois, ils sauvent également certaines choses essentielles à la subsistance, comme la nourriture, rarement des animaux domestiques. »
«Le déluge vient de (la pluie, de vagues énormes, un conteneur cassé ou ouvert, le ventre d’un monstre percé, etc.).
Des éclaireurs d’oiseaux ou de rongeurs sont souvent envoyés, mais ce n’est pas universel.
Une fois le déluge terminé, les survivants se retrouvent sur une montagne ou une île; parfois, ils offrent un sacrifice (non universel), puis repeuplent la terre, recréent des animaux, etc. par des moyens miraculeux.
Une analyse du scepticisme d’un autre angle
Il y a des centaines de récits diluviens partout dans le monde et leur existence peut être expliquée par le fait qu’il y a vraiment eu une inondation mondiale, tout comme la Bible le décrit.
Voici quelque chose à considérer: l’existence de tous ces récits de déluge provenant de cultures du monde entier n’est pas contestée par les sceptiques. Ils ne disent pas que ces récits n’existent pas.
Leur défi est d’essayer de les justifier, ou d’essayer de les expliquer comme étant le résultat d’autre chose que d’une inondation mondiale. |
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Marc89
Inscrit le: 03 Mai 2014 Messages: 731
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Posté le: Me 09 Avr 2025 11:21 Sujet du message: |
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Voici ce qui est retrouvé d'ecrit sur une des tablettes sumerienne...
https://www.pinterest.fr/pin/571957221400524344/
the flood swept over the land. After the flood had swept over the land and kingship had descended from heaven for a second time, kish cush became the seat of kingship...
Traduction :
le déluge a balayé le pays. Après que le déluge ait balayé le pays et que la royauté soit descendue du ciel pour la seconde fois, Kish Cush est devenu le siège de la royauté...
https://www.google.com/search?client=firefox-b-d&q=preuves+geologique+d%27un+deluge+en+mes opotamie
En fouillant en 1929 les ruines de l'ancienne cité d'Ur en Mésopotamie, l'archéologue britannique Sir Leonard Woolley fit une découverte sensationnelle. Creusant une tranchée profonde pour reconnaître les plus anciens niveaux d'occupation, il trouva au fond du puits de sondage une couche d'argile stérile.
http://bible.archeologie.free.fr/archedenoetablettes.html
Les chapitres 6 à 8 de la Genèse rapportent le fameux récit du Déluge, d’après lequel Dieu irrité par la perversité des hommes décide d'éradiquer l'humanité en provoquant une inondation totale. Un seul homme au comportement irréprochable, Noé, est toutefois prévenu divinement et sauvé par la construction d'un grand navire dans lequel il fait embarquer sa famille et de nombreux couples d'animaux. Des pluies torrentielles s'abattent alors sur le sol et submergent tout, les eaux recouvrant les continents pendant quarante jours avant de commencer à s'assécher. Noé réfugié dans son Arche cherche la terre ferme en libérant trois fois une colombe jusqu'à ce qu'elle trouve un lieu où se poser. Enfin le navire s'échoue dans les montagnes de l'Ararat et ses occcupants en sortent indemnes.
L'histoire mythique du Déluge ne fut connue pendant longtemps qu'à travers le récit qu'en fait la Bible. Cependant les travaux menés depuis deux siècles par les archéologues au Proche-Orient ont bousculé cette unicité.
Une découverte stupéfiante fut en effet réalisée à la suite d'une des grandes campagnes de fouilles qui furent effectuées en Irak au XIXe siècle. Elle se trouvait sur l’une des innombrables tablettes cunéiformes exhumées dans les ruines ensablées des villes disparues.
Tablette cunéiforme trouvée à Nippur
(biblepicturegallery.com).
Tablette cunéiforme trouvée à Babylone,
relatant un déluge en sumérien
(earth-history.com).
Le déluge assyrien
En 1872, le jeune assyriologue George Smith participait au British Museum au déchiffrement des trente mille tablettes d'argile qui provenaient de la bibliothèque du palais du roi Assurbanipal à Ninive, capitale de l’ancienne Assyrie. Il fut un jour surpris de traduire un texte qui ressemblait étrangement au récit biblique du Déluge. Ce texte faisait partie d’un autre récit plus vaste, « l'épopée de Gilgamesh », une sorte de conte dans lequel le personnage central était un roi d'Uruk nommé Gilgamesh.
Alors que ce roi légendaire cherchait la recette de l'immortalité, il rencontra un personnage nommé Utanapishtim qui lui fit un compte-rendu de l'histoire du Déluge. Utanapishtim déclara avoir survécu à une inondation gigantesque provoquée par l'assemblée des dieux dans le dessein de faire disparaître toute l'humanité. Il fut sauvé grâce à la bienveillance d'un seul dieu, Ea, qui lui fit construire un navire et s'y embarquer. Voici les extraits les plus significatifs de ce récit [1][2] :
« (Le dieu dit:) Homme de cette ville, démolis ta maison et construis un bateau (...). Renonce à tes biens et sauve ta vie. Embarque avec toi un spécimen de chaque être vivant. Le bateau que tu vas construire, sa largeur et sa longueur doivent être semblables. Couvre-le d'un toit (...). Lorsque le bateau fut construit on procéda à son chargement en attendant le Déluge. (Utanapishtim parle:) Le soir du septième jour, le bateau était achevé (...). Je chargeai à son bord tout ce que j'avais de specimens d'espèces vivantes. Toute ma famille et ma parenté je fis monter sur le bateau (...). A la première lueur de l'aube, monta de l'horizon une sombre nuée (...). Le silence de mort de l'orage traversa le ciel et ce qui était lumineux se changea en ténèbres. Comme une bataille, le cataclysme passa sur les hommes (...). Même les dieux furent épouvantés par le Déluge, six jours et sept nuits (...). Le septième jour l'ouragan ralentit. Le déluge cessa. Tous les peuples étaient redevenus d'argile. Par la lucarne, la lumière du soleil tomba sur mon visage. Je me jetai à genoux et en pleurant, je cherchai les côtes, les rivages de la mer. Le bateau accosta sur le mont Nisir (...). Le septième jour je fis sortir la colombe : elle s'envola mais revint car aucun perchoir ne lui était offert. Je fis sortir l'hirondelle, elle revint. Je fis sortir un corbeau, il partit et voyant les eaux se retirer, il picora, voltigea et ne revint pas vers moi. Alors je fis une offrande et un sacrifice aux quatre vents ».
La 11ème tablette cunéiforme trouvée à Ninive
(suffragio.it).
Bas-relief représentant le roi Gilgamesh
(encarta.msn.com).
A la lecture de ce texte, Smith ne put contenir son émotion. La ressemblance avec le récit biblique était si flagrante qu’elle ne pouvait pas être due au hasard. Lorsque la traduction de ce document fut publiée en Angleterre, elle produisit l'effet d’une bombe. On avait trouvé une « confirmation » archéologique d’un extrait de la Genèse ! La tablette d'argile provenait de la bibliothèque du roi d‘Assyrie Assurbanipal (668-626 av. J.-C.) et datait donc au moins du VIIe siècle av. J.-C.
Mais on allait vite réaliser que cette version mésopotamienne du Déluge n'était pas unique, car d'autres documents contenant un récit similaire allaient se révéler.
Autres récits diluviens de Mésopotamie
L’année qui suivit la publication de la tablette de Ninive en effet, George Smith fut envoyé sur les lieux de la découverte afin qu’il y retrouve les fragments manquants. Au lieu de cela, il y exhuma une seconde tablette faisant état du Déluge ! Cette version, plus succinte, différait sensiblement de la première, et son héros s’appelait Atrahasis, le « super sage ».
D'autres versions du mythe diluvien furent également découvertes par la suite. En 1900, des chercheurs de l’université de Pennsylvanie exhumèrent à Nippur, une ville implantée au Sud-est de Babylone, une tablette très déteriorée écrite en akkadien. Trouvée dans des ruines qui occupaient une colline, elle fut traduite par l’Allemand Hermann Hilprecht et s’avéra être encore un autre récit du Déluge semblable à celui de la Bible [4]. On pense aujourd’hui que cette tablette date de la première dynastie de rois de Babylone, c’est-à-dire d’entre 1850 et 1500 av. J.-C. environ. Hilprecht notait déjà qu’elle était bien antérieure aux tablettes assyriennes de l’épopée de Gilgamesh, et en même temps plus proche du texte de la Genèse.
Un récit du Déluge en langue sumérienne figure encore sur une tablette exhumée en 1893, également à Nippur, lors d’une expédition de l’université de Pennsylvanie. Dans cette variante traduite par le docteur Arno Poebel en 1913, le personnage principal est un certain Ziusudra, roi de Shuruppak [5][6]. Ce texte était en outre précédé d'un récit de création des hommes et de fondation des premières cités.
Tablette relatant une version babylonienne du récit du Déluge
(freestockphotos.com).
Un document de nature quelque peu différente est la « liste royale sumérienne », une série de dix-huit tablettes d'argile trouvées elles aussi dans les ruines de Nippur. On en découvrit par ailleurs d’autres exemplaires, dont le mieux conservé est le « prisme de Weld-Blundell », un objet polygonal offert au musée d’Oxford [7]. Il s'agit d'une énumération de rois sensés avoir régné sur la région de Sumer et qui s'arrête vers 1800 avant notre ère. Au milieu de la liste, la phrase suivante s’insère de manière inattendue : « Après que le Déluge eut tout nivelé, la royauté s'établit à Kish ».
Une dynastie de rois semble avoir effectivement régné à Kish vers 2900 av. J.-C., et une partie au moins paraît historique. Le fait que le Déluge soit mentionné dans une liste de rois lui donne davantage de crédibilité que les seules compositions littéraires.
Liste royale sumérienne
(hsumerianshakespeare.com).
En 1985 enfin, un collectionneur apporta à l’assyriologue Irvin Finkel, du British Museum, une tablette inscrite en sumérien qui relatait le Déluge mais surtout qui décrivait en détail les caractéristiques de l’Arche [8][9]. Une structure circulaire, des parois faites de tiges de bois recouvertes de bitume, un diamètre de soixante-sept mètres, un intérieur compartimenté sur deux niveaux et un toit couvrant le tout : le navire était une sorte d’immense panier flottant semblable aux embarcations légères encore appelées « coracles ». Il était conçu pour accueillir des animaux, et ceux-ci y entrèrent deux par deux, en couples, comme dans la Genèse ! La forme des caractères de la tablette incita Finkel à la dater d’entre 1900 et 1700 av. J.-C.
La tablette traduite par Irvin Finkel
(theblaze.com).
Tous ces éléments attestent que les anciens Chaldéens possédaient dans leur mémoire le récit d'une inondation ancestrale catastrophique et de grande ampleur. Mais comment interpréter le lien évident avec la narration biblique ?
La plupart des chercheurs modernes estiment que c’est le mythe mésopotamien du Déluge qui a influencé les auteurs de la Bible. D’autres au contraire s’attachent à défendre la primauté de la tradition judéo-chrétienne monothéiste. Quoi qu’il en soit, l’abondance des documents mésopotamiens montre que ce peuple considérait ce récit comme un mythe fondateur, peut-être même comme un évènement réel. Si tel était le cas, le Déluge de la Genèse s’inscrirait dans un contexte historique. L’arche de Noé sortirait peu à peu de la légende pour entrer dans l’Histoire.
Un déluge régional ou planétaire ?
La grande vallée du Tigre et de l’Euphrate n’est pas la seule région du Monde à avoir gardé mémoire de ce genre de mythe. Plusieurs autres foyers culturels ont conservé des récits ancestraux faisant état d’une inondation totale, éradiquant toute vie humaine à l'exception de quelques personnes réfugiées sur un navire. De tels récits ont ainsi été recueillis dans des territoires aussi éloignés que l'Inde, la Grèce, l'Australie, l'Amérique du Nord ou la Scandinavie ...
Dans son « Dictionnaire biblique », l'Eglise adventiste a publié une carte recensant les plus anciens récits de déluges à caractère mythique [10]. Le nombre de points reportés est impressionnant, et incite à penser que l’existence de toutes ces traditions peut difficilement être fortuite. Auraient-elles une origine commune ? Une inondation majeure a-t-elle effectivement pu sévir à l’aube de nos civilisations ? Quelle serait son étendue ? N’aurait-elle pas laissé des traces de nature géologique ? C'est apparemment ce qu'ont découvert quelques archéologues en effectuant des sondages dans une plaine irakienne.
Récit d'un Déluge fait par un Amérindien
(shingwauk.auc.ca).
Carte des lieux où ont été recensés
des récits d'un Déluge régional.
(dialogue.adventist.org).
Références :
[1] - G. Smith : « The Caldean Account of the Deluge ». In : “The Flood Myth”, Ed. by A. Dundes, University of California Press, Berkeley, Los Angeles, London 1988.
[2] - S. Maul : « L’épopée de Gilgamesh ». In : B. André-Salvini (Hrsg.), Babylone, musée du Louvre, catalogue de l'exposition « Babylone » (14.3.-2.6.2008), Paris, 2008, S. 348-359.
[3] - D. Hämmerly-Dupuy, « Some Observations on the Assyro-Babylonian and Sumerian Flood Stories ». In : « The Flood Myth », Ed. by A. Dundes, University of California Press, Berkeley, Los Angeles, London 1988.
[4] - H.V. Hilprecht : “The Earliest Version of the Babylonian Deluge Story and the Temple Library of Nippur ». In : « The Babylonian Expedition of the University of Pennsylvania. Series D : Researches and Treaties ». Vol. V, fasc. 1. University of Pennsylvania, Philadelphia 1910.
[5] - D. Hämmerly-Dupuy, ibid.
[6] - « Ancient Nippur Tablet Tells New Story of Deluge ». The new York Times, August 10, 1913. http://query.nytimes.com/mem/archive-free/pdf?res=9A0CE2DC113BE633A25753C1A96E9C946296D6CF.
[7] - C.E. Fant, M.G. Reddish : « Lost Treasures of the Bible. Understanding the Bible through archaeological Artifacts in World Museums ». W.B. Eerdmans Publishing Company, Grand Rapids, Cambridge 2008.
[8] - G. Van Grasdorff : « Une autre histoire de l’Arche de Noé ». Le Monde des Religions, 2/10/2014. http://www.lemondedesreligions.fr/savoir/une-autre-histoire-de-l-arche-de-noe-02-10-2014-4238_110.php.
[9] - I. Finkel : « Noah’s Ark : the Facts behind the Flood ». The Telegraph, 19 Jan. 2014. http://www.telegraph.co.uk/culture/books/10574119/Noahs-Ark-the-facts-behind-the-Flood.html.
[10] - W.H. Shea : « Le déluge : une simple catastrophe régionale ? ». http://dialogue.adventist.org/fr/articles/09-1/shea/le-deluge-une-simple-catastrophe-regionale. |
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Marc89
Inscrit le: 03 Mai 2014 Messages: 731
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Posté le: Me 09 Avr 2025 11:22 Sujet du message: |
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Le deluge Mythes.
P : 189 - 190 - 191
...
...Sur l'Egypte aussi il était tombé une pluie de sang.
...
Sur les bord du Nil comme en Hellade, c'est l'orgueil des hommes qui à été puni par les Dieux. Les hieroglyphes nous renseignent : la cause du déluge doit etre imputée à l'orgueil des Atlantes. C'est pour les punir que "l'oeil de Ré" est descendu de son front Divin sur la terre et l'a frappée du desastre...Qu'était cet oeil ? Le texte place le hieroglyphe "oeil" , bien connu, à coté de celui signifiant "Déesse", et qui n'est autre qu'un naja dressé. Cela veut dire : ce qu'on nomme "l'oeil de Ré" et plus precisement ici son oeil "gauche", ce presente sous une forme typiquement Divine, comme une force agissante, sous les especes de Schmet, la puissante. Laissons ici la parole au papyrus I,384, de Leyde :
"Sechmet pris la maginfique apparence d'une lionne en furie. Elle lançait sa crieniere en avant. Son pelage flamboyait. Son échine avait la couleur du sang. Sa face avait l'éclat du soleil, ses yeux étaient des braises. Ses regards lançaient des flammes et rayonnait comme le soleil à midi ... Tous, alentour, tremblaient devant sa puissance. Sa queue soulevait la poussiere du desert. Et le sable se dressait en tourbillons au moindre de ses grincements de dents. Le desert crachais le feu quand elle aiguisait ses griffes. Au soufle de ses narines, les arbres se déssècherent dans les bois... au meme instant, le desert ce couvrit d'un voile, les montagnes virerent au noir, le soleil s'assombrit en plein midi, et l'on cessa de voir le ciel..."
L'oeil de gauche de "Ré", ce n'était pas le soleil, c'était l'asteroide tombant du ciel, bolide dévastateur, dont le terrifiant éclat fit palir le soleil et s'obscucir le ciel. La catastrophe qu'il a déclenchée a également touché l'Egypte. C'est au point que, poursuit le texte, "Ré" se met a craindre que Sechmet-Hathor n'en vienne a detruire tous les hommes. Alors, il fait brasser de la bierre qu'on deverse sur la region du Nil - formule moderne de la pluie de sang. Et lorsque, le lendemain, de bonne heure, la terrible bete ce met en route pour de nouvelles destruction, elle ce mire dans le flot rouge. Son propre visage l'attire, l'invite à ce pencher, elle boit cette bierre savoureuse, et ce désinteresse désormais du sort des hommes. Cette finale quasi burlesque du recit Egyptien du déluge, provient probablement d'une tentative d'explication de l'étrange pluie de sang.
C'est aussi dans la mer de sang du déluge qu'a peri le monde selon les légendes nordiques.
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Nathan 38
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Marc89
Inscrit le: 03 Mai 2014 Messages: 731
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Posté le: Me 09 Avr 2025 11:22 Sujet du message: |
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Le déluge. Myhes.
Ces regions n'étaient pas trés éloignées du centre de la catastrophe. Elles en ont subi les plus lourds effets, beaucoup plus que la lointaine Egypte. Il s'ensuit que le mtyhe s'inspire, pour nous retracer le désastre, d'un motif tragique : le meurtre du plus ancien des Dieux, dont le corps était le vieux monde - celui des periodes glaciaires - par les jeunes Dieux d'une époque nouvelles - ceux là meme nommées "les fils de Bur" dans la strophe deja cité de la Voluspa. C'est eux qui seront les createurs d'un monde nouveau, qui ne sera plus sous la glace, un monde qu'on verra reverdir.
Ils tuent Ymir, le roi de la glace, et dans son sang, c'est le genre humain tout entier qui ce noie, à l'exception d'un seul, le Noé nordique, qui, assis sur un coffre de vivre, ce sauve sur les flots.
Pour édifier un nouveau monde, les jeunes Dieux mettent en piece le corps d'Ymir : les os formeront les montagnes, la chair donnera la terre arable, le crane servira de ciel. A seulement évoquer ce tableau, ou le mythe rejoint l'allegorie, on croit vraiment voir le paysage postglaciaire fleurir sur les glaces fondantes d'Ymir déchiqueté. Mais pourquoi cette couleur rouge sang des eaux qui coulent des glaciers et qui tombent du ciel ? parce que ce n'est pas là une pluie banale : c'est la cendre volcanique de la catastrophe de l'atlantique qui en a fait, ici noire et là rouge, la pluie de boue et la pluie de sang du déluge.
A ces exemples venus des régions de l'est, pourquoi ne pas comparer ceux de l'ouest ?
Les peuples Mayas qui habitaient en majorité la zone des vents d'ouest dominants,ont été épargnés par le deluge, mais leur region a été dévastée par l'éruption volcanique, par le tremblement de terre, par le feu et par le raz de marée consecutif a l'impact de l'asteroide. Nous avons deja emprunté un exemple caracteristique au livre de Chilam Balam.
Plus au sud, les races qui résidaient en dehors de la zone des vents d'ouest, connaissent encore d'autres détails ce rapportant a une grande inondation. Les Tarasques, par exemple, racontent l'histoire du pretre Tespi, qui construisit un grand bateau et ce sauva avec toute sa famille.
Au Guatemala, le meme sujet ce rattache au noms de Nala et Nata.
Le geant Toltèque Schelua, réussit a gravir la montagne du Dieu des eaux et put ainsi échapper aux flots. La haut, il édifia ensuite la celebre pyramide de Cholua, incendié par Cortés.
Bien significatif est aussi le recit du déluge, qui a cours chez les Algonquins, en amérique du nord. Ceux ci vivaient entierement dans la zone des vents d'ouest. Aussi n'ont-ils eut à subir aucune inondation du type diluvien. Ils disent que leur Dieu et heros Minabozho s'est jeté dans la mer, qui c'est mise à déborder et qui a submergé la terre. Il semble bien y avoir là une trace laissé par le souvenir de l'impact de l'asteroide dans l'atlantique, dont l'orbite, dans sa partie visible, traversait le ciel du pays Algonquin.
En revanche, on devrait s'attendre a que les peuples sud-américains vivant dans la zone tropicale, c'est à dire dans une région ou domine les Alizée de l'est; aient vecu le déluge et en aient conservé le souvenir dans leurs légendes. cette attente a été confirmée. C'est ainsi que les Arawaks, en Guyane, dans le nord du Bresil et en Colombie, possedent les legendes de cette sorte. Leur bon Dieu Sigoo a pu sauver tous les animaux et meme les oiseaux en les regroupant sur une haute montagne avant l'arrivée des flots dévastateur. C'est là haut qu'ils purent surmonter l'éffroyable épreuve de l'obscurité et des tempetes, pendant que le plat pays était inondé.
La tribu des Makuschis parle, elle, du premier couple humain posterieur au déluge qui, tel Deucalion et Pyrrha dans la proto- Hellade, prirent des pierres pour refaire des hommes et repeuplerent ainsi la terre dévastée.
Les Arawaks de Guyane se rappellent deux choses ; d'abord le feu, ensuite le déluge. Cela s'explique par la situation de la region ou ils vivent.
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Marc89
Inscrit le: 03 Mai 2014 Messages: 731
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Posté le: Me 09 Avr 2025 11:24 Sujet du message: |
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Le deluge Mythes.
P : 189 - 190 - 191
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...Sur l'Egypte aussi il était tombé une pluie de sang.
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Sur les bord du Nil comme en Hellade, c'est l'orgueil des hommes qui à été puni par les Dieux. Les hieroglyphes nous renseignent : la cause du déluge doit etre imputée à l'orgueil des Atlantes. C'est pour les punir que "l'oeil de Ré" est descendu de son front Divin sur la terre et l'a frappée du desastre...Qu'était cet oeil ? Le texte place le hieroglyphe "oeil" , bien connu, à coté de celui signifiant "Déesse", et qui n'est autre qu'un naja dressé. Cela veut dire : ce qu'on nomme "l'oeil de Ré" et plus precisement ici son oeil "gauche", ce presente sous une forme typiquement Divine, comme une force agissante, sous les especes de Schmet, la puissante. Laissons ici la parole au papyrus I,384, de Leyde :
"Sechmet pris la maginfique apparence d'une lionne en furie. Elle lançait sa crieniere en avant. Son pelage flamboyait. Son échine avait la couleur du sang. Sa face avait l'éclat du soleil, ses yeux étaient des braises. Ses regards lançaient des flammes et rayonnait comme le soleil à midi ... Tous, alentour, tremblaient devant sa puissance. Sa queue soulevait la poussiere du desert. Et le sable se dressait en tourbillons au moindre de ses grincements de dents. Le desert crachais le feu quand elle aiguisait ses griffes. Au soufle de ses narines, les arbres se déssècherent dans les bois... au meme instant, le desert ce couvrit d'un voile, les montagnes virerent au noir, le soleil s'assombrit en plein midi, et l'on cessa de voir le ciel..."
L'oeil de gauche de "Ré", ce n'était pas le soleil, c'était l'asteroide tombant du ciel, bolide dévastateur, dont le terrifiant éclat fit palir le soleil et s'obscucir le ciel. La catastrophe qu'il a déclenchée a également touché l'Egypte. C'est au point que, poursuit le texte, "Ré" se met a craindre que Sechmet-Hathor n'en vienne a detruire tous les hommes. Alors, il fait brasser de la bierre qu'on deverse sur la region du Nil - formule moderne de la pluie de sang. Et lorsque, le lendemain, de bonne heure, la terrible bete ce met en route pour de nouvelles destruction, elle ce mire dans le flot rouge. Son propre visage l'attire, l'invite à ce pencher, elle boit cette bierre savoureuse, et ce désinteresse désormais du sort des hommes. Cette finale quasi burlesque du recit Egyptien du déluge, provient probablement d'une tentative d'explication de l'étrange pluie de sang.
C'est aussi dans la mer de sang du déluge qu'a peri le monde selon les légendes nordiques.
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Marc89
Inscrit le: 03 Mai 2014 Messages: 731
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Posté le: Me 09 Avr 2025 11:24 Sujet du message: |
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Le déluge. Myhes.
Ces regions n'étaient pas trés éloignées du centre de la catastrophe. Elles en ont subi les plus lourds effets, beaucoup plus que la lointaine Egypte. Il s'ensuit que le mtyhe s'inspire, pour nous retracer le désastre, d'un motif tragique : le meurtre du plus ancien des Dieux, dont le corps était le vieux monde - celui des periodes glaciaires - par les jeunes Dieux d'une époque nouvelles - ceux là meme nommées "les fils de Bur" dans la strophe deja cité de la Voluspa. C'est eux qui seront les createurs d'un monde nouveau, qui ne sera plus sous la glace, un monde qu'on verra reverdir.
Ils tuent Ymir, le roi de la glace, et dans son sang, c'est le genre humain tout entier qui ce noie, à l'exception d'un seul, le Noé nordique, qui, assis sur un coffre de vivre, ce sauve sur les flots.
Pour édifier un nouveau monde, les jeunes Dieux mettent en piece le corps d'Ymir : les os formeront les montagnes, la chair donnera la terre arable, le crane servira de ciel. A seulement évoquer ce tableau, ou le mythe rejoint l'allegorie, on croit vraiment voir le paysage postglaciaire fleurir sur les glaces fondantes d'Ymir déchiqueté. Mais pourquoi cette couleur rouge sang des eaux qui coulent des glaciers et qui tombent du ciel ? parce que ce n'est pas là une pluie banale : c'est la cendre volcanique de la catastrophe de l'atlantique qui en a fait, ici noire et là rouge, la pluie de boue et la pluie de sang du déluge.
A ces exemples venus des régions de l'est, pourquoi ne pas comparer ceux de l'ouest ?
Les peuples Mayas qui habitaient en majorité la zone des vents d'ouest dominants,ont été épargnés par le deluge, mais leur region a été dévastée par l'éruption volcanique, par le tremblement de terre, par le feu et par le raz de marée consecutif a l'impact de l'asteroide. Nous avons deja emprunté un exemple caracteristique au livre de Chilam Balam.
Plus au sud, les races qui résidaient en dehors de la zone des vents d'ouest, connaissent encore d'autres détails ce rapportant a une grande inondation. Les Tarasques, par exemple, racontent l'histoire du pretre Tespi, qui construisit un grand bateau et ce sauva avec toute sa famille.
Au Guatemala, le meme sujet ce rattache au noms de Nala et Nata.
Le geant Toltèque Schelua, réussit a gravir la montagne du Dieu des eaux et put ainsi échapper aux flots. La haut, il édifia ensuite la celebre pyramide de Cholua, incendié par Cortés.
Bien significatif est aussi le recit du déluge, qui a cours chez les Algonquins, en amérique du nord. Ceux ci vivaient entierement dans la zone des vents d'ouest. Aussi n'ont-ils eut à subir aucune inondation du type diluvien. Ils disent que leur Dieu et heros Minabozho s'est jeté dans la mer, qui c'est mise à déborder et qui a submergé la terre. Il semble bien y avoir là une trace laissé par le souvenir de l'impact de l'asteroide dans l'atlantique, dont l'orbite, dans sa partie visible, traversait le ciel du pays Algonquin.
En revanche, on devrait s'attendre a que les peuples sud-américains vivant dans la zone tropicale, c'est à dire dans une région ou domine les Alizée de l'est; aient vecu le déluge et en aient conservé le souvenir dans leurs légendes. cette attente a été confirmée. C'est ainsi que les Arawaks, en Guyane, dans le nord du Bresil et en Colombie, possedent les legendes de cette sorte. Leur bon Dieu Sigoo a pu sauver tous les animaux et meme les oiseaux en les regroupant sur une haute montagne avant l'arrivée des flots dévastateur. C'est là haut qu'ils purent surmonter l'éffroyable épreuve de l'obscurité et des tempetes, pendant que le plat pays était inondé.
La tribu des Makuschis parle, elle, du premier couple humain posterieur au déluge qui, tel Deucalion et Pyrrha dans la proto- Hellade, prirent des pierres pour refaire des hommes et repeuplerent ainsi la terre dévastée.
Les Arawaks de Guyane se rappellent deux choses ; d'abord le feu, ensuite le déluge. Cela s'explique par la situation de la region ou ils vivent.
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