[daniel]

La psilocybine élève la conscience spirituelle

Résumé : La psilocybine améliore significativement le bien-être psychologique et la compréhension spirituelle des membres du clergé des principales religions du monde. Les participants ont signalé des changements positifs durables dans leur pratique religieuse, leurs croyances personnelles et leur efficacité professionnelle après deux séances guidées de psilocybine.

La plupart ont décrit ces expériences comme parmi les plus marquantes spirituellement et psychologiquement de leur vie. Ces effets se sont prolongés pendant plus d'un an, soulignant le potentiel de la psilocybine comme outil de développement spirituel et de soutien à la santé mentale.

Faits essentiels :

Impact à long terme : les changements positifs ont été maintenus jusqu’à 16 mois après la deuxième séance.

Importance spirituelle : 96 % des participants ont classé au moins une expérience parmi les 5 plus importantes spirituellement de leur vie.

Avantages professionnels : Le clergé a signalé une efficacité accrue en tant que chefs religieux après la consommation de psilocybine.

https://neurosciencenews.com/psilocybin-neurotheology-29240/

[Alain V]

Le clergé et les champignons hallucinogènes ...
( c' est rigolo )

Et si certains membres du clergé, ayant eu vent de l' affaire, s' y mettaient en douce ? ...

A une époque c' était réservé aussi " hippies ". Pour beaucoup, athées ( je veux dire très étrangers aux valeurs de l' Église et du clergé ).
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" Le réel c' est quand on se cogne " Lacan

" la guerre, ce sont des hommes qui ne se connaissent pas et qui se massacrent au profit d'hommes qui se connaissent et ne se massacrent pas ".
Paul Valery

[daniel]

Et oui

[daniel]

Une nouvelle étude publiée dans la revue Science révèle que les neurones du cerveau ne suivent pas une stratégie unique lors de l'apprentissage. Au contraire, différentes parties d'un même neurone – ses branches supérieures et inférieures – ajustent leurs connexions selon des règles distinctes. Cette découverte remet en question l'idée traditionnelle selon laquelle chaque neurone possède une règle d'apprentissage unique et suggère que les neurones pourraient avoir une plus grande flexibilité dans leur façon de traiter et de stocker l'information.

L'apprentissage implique souvent de modifier la force des connexions entre les neurones, un processus appelé plasticité synaptique. Mais les scientifiques ne comprennent pas encore totalement comment le cerveau sélectionne les connexions à renforcer ou à affaiblir. Cette question, parfois appelée « problème d'attribution de crédits », est importante, car seuls les bons changements, apportés au bon moment, permettent un apprentissage efficace.

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[daniel]

Un réservoir d’alcool cosmique : ce système pourrait expliquer l’apparition de la vie sur Terre

Les grandes quantités de molécules organiques dans son disque protoplanétaire auraient alimenté les comètes, et par extension les planètes.

En analysant les données du télescope Atacama Large Millimeter-submillimeter Array (ALMA), une équipe d’astronomes a, pour la première fois, détecté des isotopes de méthanol dans le disque protoplanétaire d’une étoile proche. Cette découverte suggère que la glace protoplanétaire est riche en molécules organiques complexes, que les comètes pourraient ensuite acheminer vers les planètes – un élément clé pour comprendre la formation de notre système solaire et l’émergence de la vie elle-même.

https://share.google/SVt0C7X712GmlVPNy

[daniel]

Une nouvelle théorie propose que le temps ait trois dimensions... Et nous pourrons bientôt la tester !

Depuis plus d’un siècle, la physique moderne repose sur une idée simple : l’univers est constitué de quatre dimensions. Trois pour l’espace (hauteur, largeur, profondeur), une pour le temps. Cette vision de l’espace-temps, formulée par Einstein, a révolutionné notre compréhension du cosmos. Mais cette belle construction pourrait être… incomplète.

Un chercheur de l’Université d’Alaska Fairbanks, Gunther Kletetschka, propose une théorie radicale : et si le temps possédait lui aussi trois dimensions, au même titre que l’espace ? Une hypothèse qui semble sortie d’un roman de science-fiction, mais qui s’appuie sur des fondements mathématiques solides – et surtout, qui pourrait être testée expérimentalement.

https://www.science-et-vie.com/ciel-et-espace/une-nouvelle-theorie-propose-que-le-temps-ait-trois-dimensions-et-nous-pourrons-bientot-la-tester-202857.html

[daniel]

L’intrication quantique n’est pas instantanée : Des scientifiques ont enfin mesuré la vitesse à laquelle se produit !

L’idée que deux particules puissent s’influencer instantanément à des milliards de kilomètres de distance fascine autant qu’elle dérange. Et si ce lien mystérieux, connu sous le nom d’intrication quantique, n’était pas si immédiat qu’on le croyait ? C’est ce que révèle une expérience spectaculaire menée à l’Université technique de Vienne, qui pourrait bien bouleverser notre compréhension du temps, de l’espace… et de la réalité elle-même.

Qu’est-ce que l’intrication quantique ?

L’intrication quantique est sans doute l’un des phénomènes les plus mystérieux et fascinants de la physique. Pour comprendre ce que cela signifie, imaginez deux particules – par exemple, deux électrons – qui interagissent fortement pendant un certain temps, puis s’éloignent l’une de l’autre. Une fois cette interaction terminée, ces deux particules restent intriquées : elles partagent un état commun, comme si elles faisaient encore partie d’un tout, même séparées par des milliers de kilomètres.

Ce lien étrange a une conséquence spectaculaire : si vous mesurez une propriété de la première particule (comme sa polarisation ou son spin), vous connaissez instantanément celle de la seconde, sans même avoir besoin de la mesurer. Cela semble violer notre intuition selon laquelle l’information ne peut pas voyager plus vite que la lumière — d’où la célèbre expression d’Einstein, qui appelait cela une « action fantomatique à distance » (spooky action at a distance), car cela semblait presque magique.

Mais ce n’est pas de la magie : c’est la mécanique quantique. Et contrairement à une simple corrélation (comme deux gants dans une boîte, où connaître le droit vous révèle le gauche), ici, les propriétés ne sont pas définies à l’avance. Elles ne « prennent forme » qu’au moment de la mesure, ce qui rend l’effet d’autant plus déroutant.

Pendant longtemps, les scientifiques ont pensé que cette connexion entre particules intriquées se formait instantanément– comme un interrupteur qu’on actionne, sans délai. Mais en réalité, cela n’avait jamais été directement testé : on observait les effets de l’intrication, mais on ne savait pas combien de temps il fallait pour que ce lien quantique se crée entre deux particules. Était-ce vraiment immédiat ? Ou ce lien mettait-il, même à l’échelle microscopique, un tout petit peu de temps à s’installer ?

Une expérience aux frontières du temps

C’est ce défi vertigineux qu’ont relevé les chercheurs de la TU Wien, en Autriche. Dans leur expérience, décrite dans la prestigieuse revue Physical Review Letters, ils ont utilisé des impulsions laser ultra-brèves pour générer une intrication entre deux électrons dans un atome.

Le principe : en envoyant un éclair laser extrêmement intense et rapide sur un atome, un électron est expulsé, tandis qu’un second électron reste dans l’atome, mais passe à un état d’énergie plus élevé. Les deux électrons, bien que séparés, sont alors quantiquement liés.

Leur outil de mesure ? Le temps… à l’échelle de l’attoseconde, soit un milliardième de milliardième de seconde(0,000000000000000001 s). Grâce à deux faisceaux lasers distincts, les physiciens ont pu déterminer avec une précision inédite le moment où cette intrication se forme.

Verdict : pas si instantané

Contre toute attente, l’équipe a observé que l’intrication ne se produit pas immédiatement, mais nécessite un laps de temps mesurable, de l’ordre de 232 attosecondes dans certains cas.

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[KIYA]

[daniel]

Bonjour Kiya, gratitude

Ben, oui, tout est payant ... ce qui fait que l'on a de moins en moins de moyens pour s'informer, enrichir nos connaissances

Le fait que ceux qui prennent la psilocybine développent du bien-être et s'adonnent aux pratiques spirituelles est lié, au fait, qu'ils ont touché une dimension (spirituelle, voir d'eux-memes) qu'ils ne connaissaient pas jusque là

Tout n'est pas rose au pays des breuvages psychédéliques

De nombreux utilisateurs d’ayahuasca rapportent des expériences difficiles, mais certaines sont liées à une meilleure santé mentale

Une nouvelle étude publiée dans PLOS Mental Health met en évidence une relation complexe entre les effets psychologiques intenses de l'ayahuasca et la santé mentale à long terme des consommateurs. S'appuyant sur une enquête mondiale, cette recherche a révélé que certains effets indésirables fréquemment ressentis après la consommation d'ayahuasca, comme le sentiment de déprime ou de déconnexion, étaient liés à une mauvaise santé mentale, en particulier chez les personnes ayant des antécédents de dépression. En revanche, d'autres effets traditionnellement qualifiés de négatifs, comme les distorsions visuelles, étaient associés à de meilleurs résultats en matière de santé mentale.

Les résultats suggèrent que toutes les expériences difficiles vécues pendant ou après la consommation d’ayahuasca ne doivent pas être considérées comme nocives, et que le contexte, la vulnérabilité individuelle et le soutien à l’intégration jouent un rôle clé dans la détermination des résultats.

L'ayahuasca est une boisson psychédélique à base de plantes, utilisée depuis longtemps dans les rituels traditionnels amazoniens.

https://share.google/m7uHZ4Ve7UbzOqkhS

Ce qui fait que les effets de ce type de boisson psychédélique ne sont que mental

[daniel]

Illusion du bras en caoutchouc : les poulpes tombent dans le panneau, comme nous !

En effectuant des expériences sur des poulpes, des chercheurs ont découvert que, tout comme les humains, ces céphalopodes se laissent piéger par l’illusion du faux bras en caoutchouc. Les pieuvres ont immédiatement adopté un comportement défensif, croyant qu’un faux tentacule pincé par les scientifiques leur appartenait. Cette réaction suggère qu’elles possèdent un sens de l’appartenance corporelle similaire à celui de l’homme — une capacité cognitive complexe, jamais observée jusqu’ici chez un animal non mammifère.

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