[daniel]

Bonjour tout le monde

Dernières nouvelles du linceul de Turin :

Enveloppé de silence pendant des siècles, le linceul de Turin reste l’un des objets religieux les plus débattus de l’histoire chrétienne. Son image spectrale, empreinte d’une silhouette humaine aux détails saisissants, intrigue autant qu’elle divise. Entre ferveur et scepticisme, cette toile ancienne a survécu aux siècles sans jamais livrer totalement son origine. Aujourd’hui, une simulation en trois dimensions vient perturber les interprétations établies, en apportant un éclairage nouveau sur la façon dont cette figure aurait pu apparaître, relançant les interrogations sur la nature réelle du linceul de Turin.

Une relique qui divise depuis des siècles

Le linceul de Turin a surgi dans les archives officielles en 1353, lorsqu’un chevalier français, Geoffroi de Charny, l’a présenté comme la pièce ayant enveloppé le corps de Jésus après sa crucifixion. Rapidement, la popularité de cette relique s’est propagée, malgré la méfiance de certains ecclésiastiques. Le doute s’est renforcé en 1988 lorsque des tests au carbone 14 ont situé l’origine du tissu entre 1260 et 1390. Cette datation médiévale, relayée dans Ebsco, a conforté l’idée d’une fabrication humaine, mais n’a pas suffi à clore le débat.

La puissance évocatrice de l’image a continué d’alimenter les recherches. Certaines analyses ont identifié des traces de sang du groupe AB, correspondant à celui observé sur d’autres objets religieux, comme le rapporte Ebsco via les travaux du STURP en 1981. Pourtant, aucun consensus n’a été trouvé quant au procédé ayant permis d’inscrire l’image sur la toile. Ce mystère visuel, aussi troublant que chargé de sens, a ouvert la porte aux hypothèses les plus diverses, entre miracle, projection chimique ou œuvre d’art.

Des tests modernes qui défient les récits religieux

Une étude récente parue dans la revue Archaeometry a ravivé le débat grâce à un outil moderne, absent au Moyen Âge. Le designer brésilien Cicero Moraes a utilisé la modélisation numérique pour comparer deux hypothèses. Il a simulé la pose d’un tissu d’abord sur un corps en 3D, puis sur un bas-relief sculpté. L’objectif était d’observer comment le tissu se déforme dans chaque configuration. Le verdict est clair. Seul le bas-relief produit une image proche des contours présents sur le linceul.

Cette expérience s’appuie sur un phénomène connu sous le nom d’“effet masque d’Agamemnon”, où la projection d’un volume sur une surface plane crée des distorsions exagérées. Or, cette déformation n’apparaît pas sur le linceul de Turin. Pour Moraes, cela suggère que la silhouette imprimée ne provient pas d’un corps, mais d’un relief plat, sculpté avec soin pour imiter une forme humaine sans les altérations liées à une réelle tridimensionnalité.

Ce constat soutient l’idée selon laquelle le linceul serait davantage une construction artistique qu’un témoignage historique. Comme l’indique l’auteur de l’étude, les proportions respectées, la symétrie des traits et l’absence d’écrasement visuel renforcent l’hypothèse d’un objet conçu à des fins symboliques ou rituelles, plutôt que comme empreinte directe d’un cadavre.

Le linceul de Turin réinterprété à la lumière du numérique

L’image qui orne le linceul de Turin pourrait ainsi ne pas être celle d’un homme crucifié, mais d’une effigie volontairement stylisée. Dans son analyse, Moraes explique que l’empreinte obtenue par le bas-relief colle bien mieux aux contours observés que celle générée à partir d’un corps humain complet. L’étude suggère une origine artistique médiévale, dans un contexte où les objets sacrés suscitaient un engouement populaire et pouvaient servir à renforcer la foi par des représentations saisissantes.

Cette hypothèse n’annule pas la charge symbolique de la relique, toujours conservée à Turin sous l’égide de l’Église catholique. Elle la replace dans une histoire complexe, faite de croyances, de doutes, de science et d’art. La technologie, en s’invitant dans l’arène des reliques anciennes, permet non pas de désacraliser, mais de mieux comprendre comment une image a traversé les siècles sans révéler tous ses secrets.

Revue Science et Vie

Je le savais, que c'était une arnaque

[Marc89]

Le mal encore en action.

Ce qu'il ne vous dise pas, c'est que le suaire de Turin a été authentifié veridique malgré une tentative de fraude scientifique decouverte juste a temps dans les années 90 et maintenant elle est contredite.
Décidement le mensonge et la manipulation ont la vie dure et le mal agit encore en profondeur.

Grace au Suaire, le corps du Christ a été reconstitué.

C'est son energie qui a marqué le Suaire, ce n'est pas une falcification humaine qui aurait pu resister autant a la science, voila pourquoi elle a traversée les siecles en provoquant beaucoup de debat, car quel moyen pouvait disposer cet age sombre qu'est le Moyen age et avant l'antiquité pour soumettre la science a autant de probleme pour en discuter sa veracité.

C'est comme toute les decouvertes scientifique restant caché au public pour ne pas les instruire, entre autre, et les conduire sur le bon chemin après la decouverte scientifique de Dieu qui a definitivement terrassé la vision uniquement materialiste du monde et de l'univers.
Tous ceci reste sous le boisseau, c'est pourquoi, l'authentification du Suaire de Turin est a nouveau contredit.
Tant que les serviteurs du mal tiennent encore les clées du systeme, plus pour tres longtemps maintenant quoi qu'on en pense et voit, le mensonge est a l'oeuvre.

[daniel]

Bonjour Marc

Je comprends ta réaction, quand on l'a authentifié, des années après avoir dit le contraire, ça m'avait plombé

Jésus plentait des graines, que j'apprécie, mais, il a aussi planté la graine de l'intolérance qui a permis le règne des seigneurs contre les petites gens qu'ils ne rendaient pas libres, mais, se contentaient d'endoctriner

[Marc89]

Bonjour Daniel

Le monde est divisé en deux categorie ( tiens ça me rappelle quelque chose ) le bien et le mal, d'ou l'intolerance entre autre avec la volonté de controle et de pouvoir en exploitant les faiblesses humaine que chacun doit depasser.

C'est pourquoi pour arriver un jour a la perfection, il faut etre confronté au mal, seul moyen de savoir reellement ou l'on en estface aux problemes ou le karma pour chacun fera sa retribution, tot ou tard, inevitablement.

Par ex la "racaille" recoltera ce qu'elle devra payer, qu'on y croient ou pas, ce sera inevitable.

Pour ceux qui ont vu les Rois Maudits, la malediction du chez des templiers a commencez a tomber et a preciser qu'ils seraient maudit jusqu'a la 7emez generation.
Ce n'est pas leur descendant, non coupable de ses fautes qui payeront mais eu en verité dans 7 futures incarnations.

[daniel]

Donc, les templiers croyaient à la réincarnation !?

[Marc89]

Cela ne veut pas dire qu'ils y croyaient, le templier qui a cité le roi et le pape a comparaitre au tribunal de Dieu avant un an, et qui c'est realisé, n'a fait que citer le message qu'il a reçu venant du Divin. Apres c'est possible qu'il y croyait, ou pas.

Pour ce qui est de la reincarnation, la religion Tibetaine y crois, la bible elle meme l'enseignait jusqu'a qu'elle soit effacer par Constantin le grand.
Des documentaires ont montré des enfants ce rappellant leurs anciennes vies avec des preuves precises qu'ils ont apporté, mais dont la science fait comme si de rien n'était.

Personnellement je me rappelle avoir eté soldat a la guerre de 14- 18, et que je me voyais dans l'astral avec deux autres soldats amis, tué comme moi a cette guerre.
Puis une autre incarnation ou en 1813 j'ai aussi eté tué a Dresde, le 26 ou 27 aout ou c'est deroulé cette bataille contre les Autrichiens ou c'est un eclat de boulet de canon reçu dans le foie qui en moins de dix seconde m'ota la vie de cette incarnation.

Nombres de preuves de par le monde existe, mais la science tenu par des mains mauvaises a sa tete ne veut pas que l'on sache ainsi que sur de nombreux sujets.

Oui la reincarnaion existe, que l'on y croit ou pas du tout.
C'est pourquoi le Christ nous a inviter a suivre son chemin et etre aussi parfait que lui.
Or, une ou quelques vies sont insuffisante pour atteindre un tel niveau de perfection demandé, et il savait cela aussi car cela demande de nombreuses vie avant d'atteindre cet état. On ne peut pas faire autrement.

Cest aussi ce qui explique pourquoi l'un nait parmi les sauvages et d'autres parmi la civilisation. Il n'y a pas de hasard.
Le niveau d'experience, de comprehension, de qualites a acquerir ne s'obtient pas aussi facilement. Le lieu de vie ne suffit pas pour franchir tous ses obstacles en une fois. Ce qui explique les differentes etapes d'evolution qui sont incontournable.
Un sauvage restera un sauvage face a certaine situation qui fera surgir en lui cette nature, alors il est bon qu'il ne s'incarne pas n'importe ou pour foutre le bordel.

Vous trouverez pour ceux que cela interesse dans la section scientifique, les preuves de la vie apres la vie par le docteur Charbonnier en plus de ses explications.