[daniel]

Bonjour tout le monde

T'as vu l'éveil

« Nous avons constaté que la pratique de la respiration rythmique comme le Sudarshan Kriya Yoga facilite l'accès à un état de méditation profonde », a expliqué Tripathi à PsyPost. « L'EEG des participants a été enregistré avant, pendant et après la pratique. L'EEG enregistre l'activité cérébrale, quantifiable en différents rythmes comme alpha, bêta, thêta, delta et gamma. Nous avons constaté que la respiration activait les rythmes thêta dans le cerveau, permettant au pratiquant de passer facilement à un état de relaxation avec une activité thêta-delta accrue. Cette activité se situe entre l'éveil complet (dominance alpha/bêta) et le sommeil complet (dominance des ondes lentes et delta), ce qui suggère que le pratiquant est dans un état de relaxation et de conscience que les textes traditionnels de méditation appellent Turiya (quatrième état de conscience, les autres étant le sommeil, l'éveil et le rêve). »

https://www.psypost.org/breath-based-meditation-technique-shifts-brain-into-deeply-relaxed-state-study-finds/

Je conseille à tous les éveilléEs de faire mesurer leur activité cérébral quantitative



PS : Turya[1] est un terme sanskrit qui signifie le quatrième état de conscience au-delà de ceux de veille, rêve et sommeil. Dans les différents courants de philosophie monastique hindoue, Tur;ya (ou chaturtha) est un état de conscience pure. Il s'agit d'un quatrième état de conscience qui sous-tend et qui transcende les trois états de la conscience commune : l'état de veille (Jagrata), l'état de rêve (svapna), et le sommeil sans rêve (Sushupti)[2],[3

« Il y a, cependant, un quatrième état de la conscience, appelé turiya. C'est la conscience du soi central ou Siva dans chaque individu. Ceci est un témoignage de la conscience auquel l'individu n'est normalement pas sensible. Le turiya est chidananda-conscience pure et béatitude. L'esprit de l'individu est conditionné par les énergies (Vasana) de vies antérieures. Lorsque les pratiques de yoga le libèrent alors qu'il est encore en vie, son esprit devient déconditionné, puis il atteint la conscience Turiya, et devient un Jivanmukta ».

Mais, tout ça c'est faux, il n'y a que la matière et l'être pour la mort (désolé, j'avais une baisse de moral)

[Philophile]

Mais il joue se joue de cynisme le Daniel

L'éloignement de l'instant VRAI commence dès lors qu'il est dit :

"On réfléchi 7 fois avant de parler".... non seulement cela rend "lent", mais aussi "tardif", sujet à l'histoire qu'on se raconte, à la prévision de tout scénario possible, à une surcharge de la pré-occupation, à la saturation mentale,...

Je n'ai jusque là jamais entendu parler de cette conscience précédente dans le véda, mais peut-être parce qu'ils n'ont déjà pas cette "mentalisation", pas ce "concept" ?

Au moins il y a mental-ité, au plus on se trouve dans la précédence, par spontané-ité.

Mais là encore... manque de confiance... par mental-ité, ce qui ne peut pas être dit, par égards aux "nobles", aux "menteurs" ou "mentaux".

Oui mon bon Daniel... tout cela est faux

C'est simple, cela est tellement vrai, que la précédence n'existe pas.
Pourtant, nous pouvons précéder les autres... et soi-même.
Nous appelons "intuition", un "lien" qui nous relie à la précédence.

Et ensuite on nous parle de spontané-ité, de confiance en Soi, on nous dit d'arrêter de réfléchir.

Pourtant c'est simple, si rien ne vient, "je ne sais pas" ou "le silence" sont "ce qui vient", mais à l'école on a pas "le droit" de ne pas savoir, la punition se trouve dans la mental-ité. Alors tout devient "contrôlé"... contrôle surprise sans surprise, mais surprise de faire constat du contrôle.

Écrire ceci et déjà cet "état" de pureté, de clarté, la kundalini,... "deviennent" réalisé.
Les facultés sont décuplées, les mots viennent sans détour, tout devient si simple, si clair, s'écoule sans contrainte...
Et même des choses pour lesquelles il n'y a pas de mot, car inconnues
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Son erreur ? SE tromper !

[daniel]

Qu'il y ait précédence, ce n'est que quand tout est rendu à la causalité, sinon, tout est en même temps, déjà là, non !?

[Philophile]

Oui, tout est "là", mais nous n'y sommes pas automatiquement si nous regardons virtuellement, ce qui est là, à l'instant "prétendu" présent, cela dépend de la spontané-ité.

Dire la "vraie" vér-ité, ce n'est pas "être convenable et gentil"... ni "inconvenant et méchant".
La vér-ité... tout le monde y a accès... et ce qui est apparu, n'est pas "gentil", c'est authentique. Mon démoniaque comme mon angélisme.
Alors on peut garder le silence et laisser tout le monde regarder les choses telles qu'elles sont.

Entre nous à la maison, nous admettons que les mots disent ce qu'ils disent, mais si je dis "pauv' con, cela ne signifie pas que je le pense.
Par contre, lorsque l'on est connecté, dedans le vrai maintenant, viennent des choses incroyables, des révélations inattendues, car elles étaient absentes.
Nous devrions toujours avoir à disposition un bloc-notes pour y notifier ce qui soudain devient apparent... dès qu'on laisse venir "la réal-ité", la vér-ité. C'est pro - di - gieux et cela porte un nom : "heur-eux".
Pas "bon-heur" ou "mal-heur"... mais heuristique

Je vais ouvrir un nouveau post faisant l'analogie de "l'Être" et de la lumière.
Montrer à quel point il y a variété dans l'Être.
Comment nous nous affectons les uns les autres (épicène).
Ce sera long, mais édifiant. Lecture libre
Et sans exagérer... la variété est "infinie" là où l'on pourrait la croire "limitée".
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Son erreur ? SE tromper !

[daniel]

Sinon, Phil, t'as raison, je dois préciser que les états dont je parle, au-dessus, sont des états que l'on peut atteindre par la méditation, mais, que l'on confond avec l'éveil, comme le disait déjà le Bouddha

[Philophile]

Ah mais wiwi

Tout cela est réel, il y a action directe sur "con-science" qui dit très bien ce qui est dit. Mais avant d'en avoir maîtrise totale... on apprend

Albert Einstein disait qu'on apprend la théorie à l'école, mais on apprend ni à aimer, ni le "mode d'emploi de l'Esprit". Il y a là une seule dimension, la dimension de mentalisation... ce qui est déjà une faculté... mais pas unique, comme tu dis... il y a "plus".

Je l'ignorais jusqu'au moment auquel toute une panoplie d'autres possibilités (facultés) se sont révélées telles, mais potentielles... non utilisées.

Juste un détail : "je n'ai pas raison"... seule la réalité, la vérité est là, et si la vérité est dite... je n'en suis que porte-parole.
La vérité ou la réalité n'ont pas de raison.
Le cœur (pas l'organe) n'a ni raison, ni sexe, et si l'on observe l'esprit, peu importe ce que l'on est, il n'a ni identification à humain ou homme ou femme, et n'a pas de dimension en centimètres , il n'a que dimensions intrinsèques.

A chaque fois que la pensée "Eveil" vient à l'esprit, il y a une poussée vers l'avant, et un "je ne sais quoi" qui se fait dans l'esprit, une manifestation, comme si un "muscle" s'activait là dans la tête, dans le cortex. Une sensation que l'esprit s'étend au-delà des limites de la boîte crânienne.
De légers picotements envahissent le corps... enfin... rien de neuf... sauf pour moi.

Je sais que je me répète, mais si tu veux faisons l'expérience du présent vrai. Au moment auquel tu verras dans cette lecture le signe @, dis ce qui te vient sans réfléchir, là, direct, même si ce qui vient est "Philippe est une cacahuète enrobée de lasagnes à la menthe".
S'il n'y a qu'une seconde entre le moment @ auquel tu viens de voir le signe et le moment auquel tu exprimes ce qui vient, c'est déjà "trop tard". Par cette pratique tu remonteras la chronologie de l'histoire qui te sépare de la précédence... certains remontent ainsi des minutes et alors sont dits avoir don de "l'art divinatoire".

Si tu y parviens, prends alors un jeu de cartes retournées et "devine" les cartes qui "seront" retournées... pas une seule erreur.
S'il y a erreur, tu es en retard.
Il ne saurait y avoir erreur, vu que tu as "déjà" vu la carte "avant" de la retourner.
Ne me crois pas, fais l'expérience... toujours le même message
C'est un voyage dans "le temps", une réalité, pour les entités.

Nous créons nos limites... mais ce n'est pas moi qui ai "raison"
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Son erreur ? SE tromper !